Officiellement lancée ce mardi à Dakar, la Plateforme de protection des lanceurs d’alerte en Afrique (PPLAAF) est une organisation non gouvernementale de droit sénégalais qui rassemble une communauté d’experts désireux d’apporter leur aide aux lanceurs d’alerte.
La structure «a pour but d’apporter un soutien aux personnes qui choisissent de faire ce qui est juste, en défendant le bien commun sans être obligées de le payer par leur citoyenneté, leur liberté, leur emploi, leur sécurité, leurs revenus ou même leur vie».
Le terme de lancement d’alerte utilisé «quand un citoyen ou un employé rend public des actes dissimulés de corruption, d’injustice, d’abus de pouvoir ou de menaces à la santé publique», PPLAAF relève que «les lanceurs d’alerte sont de plus en plus menacés, dans tous les pays».
Composée d'avocats, de journalistes, d’activistes entre autres, «prêts à les protéger pour divulguer des informations sensibles en Afrique», la plateforme entend leur prodiguer des «conseils juridiques» avant qu’ils (lanceurs d’alerte) «n’approchent les médias».
La mission de PPLAAF étant de «protéger le lanceur d'alerte tout en donnant de la voix à son combat», l’organisation indique qu’elle a aussi «un réseau de journalistes d'investigations pour enquêter sur les faits révélés».
«Quand les institutions démocratiques sont faibles, les lanceurs d'alerte sont en danger de mort», avertit toutefois la plateforme.
Et d’ajouter: «En Afrique, seuls sept (7) pays ont des lois de protection des lanceurs d'alerte».
La structure «a pour but d’apporter un soutien aux personnes qui choisissent de faire ce qui est juste, en défendant le bien commun sans être obligées de le payer par leur citoyenneté, leur liberté, leur emploi, leur sécurité, leurs revenus ou même leur vie».
Le terme de lancement d’alerte utilisé «quand un citoyen ou un employé rend public des actes dissimulés de corruption, d’injustice, d’abus de pouvoir ou de menaces à la santé publique», PPLAAF relève que «les lanceurs d’alerte sont de plus en plus menacés, dans tous les pays».
Composée d'avocats, de journalistes, d’activistes entre autres, «prêts à les protéger pour divulguer des informations sensibles en Afrique», la plateforme entend leur prodiguer des «conseils juridiques» avant qu’ils (lanceurs d’alerte) «n’approchent les médias».
La mission de PPLAAF étant de «protéger le lanceur d'alerte tout en donnant de la voix à son combat», l’organisation indique qu’elle a aussi «un réseau de journalistes d'investigations pour enquêter sur les faits révélés».
«Quand les institutions démocratiques sont faibles, les lanceurs d'alerte sont en danger de mort», avertit toutefois la plateforme.
Et d’ajouter: «En Afrique, seuls sept (7) pays ont des lois de protection des lanceurs d'alerte».