A droite toute ! C’est ce que signifie avant tout l’élection de Pablo Casado à la tête du grand parti de la droite espagnole, de loin la première en nombre de sièges au sein de la Chambre des députés. Clairement contre le divorce, opposé à l’avortement, ennemi déclaré de l’euthanasie... Trois sujets qui montrent bien que ce jeune député de 37 ans incarne l’aile la plus radicale du Parti populaire, où cohabitent depuis toujours radicaux et modérés. Pablo Casado, qui n’a pas connu le franquisme, se sent même décomplexé vis-à-vis de la dictature.
Pour lui, l’Espagne doit opérer une « révolution morale » et revenir vers les valeurs catholiques. Celui qui va désormais diriger le parti est convaincu, aussi, que l’unité de l’Espagne est en péril, en raison du défi des sécessionnistes catalans. Pablo Casado n’est pas favorable au dialogue avec les séparatistes. « Tout le poids de la justice doit tomber sur eux », a-t-il martelé, en référence aux dirigeants sécessionniste en prison ou résidant à l’étranger. Avec Casado, d’une manière générale, on peut s’attendre à davantage de confrontations entre les diverses forces politiques.
Pour lui, l’Espagne doit opérer une « révolution morale » et revenir vers les valeurs catholiques. Celui qui va désormais diriger le parti est convaincu, aussi, que l’unité de l’Espagne est en péril, en raison du défi des sécessionnistes catalans. Pablo Casado n’est pas favorable au dialogue avec les séparatistes. « Tout le poids de la justice doit tomber sur eux », a-t-il martelé, en référence aux dirigeants sécessionniste en prison ou résidant à l’étranger. Avec Casado, d’une manière générale, on peut s’attendre à davantage de confrontations entre les diverses forces politiques.