«Nous voulons rétablir la vérité à travers la communication à chaque fois qu’elle a été changée en mensonge. Et il y a eu beaucoup de mensonges distillés dans la presse ». Ces propos sont de Yankhoba Seydi qui dénonçait la posture des autorités de l’enseignement supérieur qui, selon lui faisait dans le dilatoire en ce qui concerne certaines questions relatives à l’université.
Et parmi ces question, le coordonnateur du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) cite le rang de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar parmi les 100 meilleures universités : «Tout le monde a suivi ce qui a été dit sur le rang de notre université pour l’année prochaine qui va appartenir aux 100 meilleures universités, ce qui est faut et beaucoup de messages similaires qu’on distille au grand public sont totalement faux. Il faut dire les choses telles qu’elles sont : ça ne va pas. Les autorités cherchent à masquer et à maquiller ce que tout le monde voit, c’est-à-dire que cela ne marche pas ».
Selon lui, le seul point sur lequel le gouvernement et eux sont tombés d’accord est l’article 3 (Ndlr : tenue d’un atelier pour régler la question de l’orientation des bacheliers), et il n’a pas été respecté : «on a continué à envoyer des bacheliers alors que les universités étaient déjà à genou car ne pouvant plus prendre les bacheliers».
Et ceci constitue un problème pour le Saes d’autant que : «malheureusement, c’est un constat amer qui doit faire réfléchir tous les Sénégalais, on est en train de former de petits assassins», rapporte-t-il, expliquant ce fait par le non-respect des capacités d’accueil, aussi bien au niveau des amphithéâtres que des hôpitaux, des nouveaux bacheliers qui ne pourront plus être encadrés comme il le faut»
Et parmi ces question, le coordonnateur du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) cite le rang de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar parmi les 100 meilleures universités : «Tout le monde a suivi ce qui a été dit sur le rang de notre université pour l’année prochaine qui va appartenir aux 100 meilleures universités, ce qui est faut et beaucoup de messages similaires qu’on distille au grand public sont totalement faux. Il faut dire les choses telles qu’elles sont : ça ne va pas. Les autorités cherchent à masquer et à maquiller ce que tout le monde voit, c’est-à-dire que cela ne marche pas ».
Selon lui, le seul point sur lequel le gouvernement et eux sont tombés d’accord est l’article 3 (Ndlr : tenue d’un atelier pour régler la question de l’orientation des bacheliers), et il n’a pas été respecté : «on a continué à envoyer des bacheliers alors que les universités étaient déjà à genou car ne pouvant plus prendre les bacheliers».
Et ceci constitue un problème pour le Saes d’autant que : «malheureusement, c’est un constat amer qui doit faire réfléchir tous les Sénégalais, on est en train de former de petits assassins», rapporte-t-il, expliquant ce fait par le non-respect des capacités d’accueil, aussi bien au niveau des amphithéâtres que des hôpitaux, des nouveaux bacheliers qui ne pourront plus être encadrés comme il le faut»