L'objectif général de cet atelier est de procéder au lancement officiel du projet « Promouvoir une police centrée sur les survivants des VBG en Afrique de l'Ouest » et de définir la méthodologie de l'étude sur les violences basées sur le genre au Sénégal afin de ressortir les bonnes pratiques à partager et les points à améliorer. « Depuis quelques années, la question des violences basées sur le genre se pose avec acuité. Malgré de nombreuses avancées juridiques, économiques et politiques, les paramètres socioculturels ralentissent son évolution », a déclaré le professeur Adjaratou Wakh Aidara Ndiaye, la Directrice exécutive de Parteners West Africa.
Le terme de VGB est défini par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme « la menace ou l'utilisation intentionnelle de la force physique ou du pouvoir contre un groupe ou une communauté qui entraîne un traumatisme, un décès, des dommages psychologiques, un mal développement ou des privations ». Cette forme de violence peut être physique, psychologique, économique et sociale, elle peut affecter la stabilité de tous. Selon les statistiques de l'ANSD (2017), 34,2 % de femmes (25-29 ans), 31,4 % (18 ou 19 ans) et 30,8 % (30-39 ans) affirment avoir été plus victimes de violence physique ou sexuelle. Par ailleurs, 43,80 % de la population avant la période de Covid-19 était victime de VBG contre 56,20 % en période de Covid-19.
C'est dans ce cadre que les acteurs multipartites et multifactoriels comme l'Etat, les institutions compétentes ainsi que les organisations et réseaux de défense des droits des femmes ont consenti des efforts considérables pour lutter contre ce fléau. Mais, l'absence de données statistiques nationales rend difficile l'atteinte de cet objectif pour tous les acteurs par l'Etat, les OSCS (Observatoire de la Solidarité et de la cohésion sociale) et réseaux de défense des droits des femmes et les parties prenantes. C'est ainsi dans une dynamique inclusive et participative, le projet « Promouvoir une police centrée sur les survivants des VBG en Afrique de l'Ouest » vise à « Réduire drastiquement les cas de violence sexuels et sexiste grâce à des données probantes susceptibles de proposer un modèle positif du secteur de la sécurité afin d'améliorer la prévention et les réponses aux VBG en Afrique de l'Ouest particulièrement au Sénégal et au Nigéria », a expliqué le professeur Adjaratou Wakh Aidara Ndiaye.
Ses missions favorisent la promotion d'une gestion inclusive de la sécurité et du leadership des femmes et des jeunes en Afrique de l'Ouest. Partners West Africa- Sénégal (PWA-Sénégal), avec le soutien et l'accompagnement des partenaires techniques et financiers, contribue à l'amélioration des conditions des femmes à travers différents projets en Afrique de l'Ouest. À la fin de l’atelier, le rapport avec les recommandations sera transmis aux autorités et aux institutions.
Le terme de VGB est défini par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme « la menace ou l'utilisation intentionnelle de la force physique ou du pouvoir contre un groupe ou une communauté qui entraîne un traumatisme, un décès, des dommages psychologiques, un mal développement ou des privations ». Cette forme de violence peut être physique, psychologique, économique et sociale, elle peut affecter la stabilité de tous. Selon les statistiques de l'ANSD (2017), 34,2 % de femmes (25-29 ans), 31,4 % (18 ou 19 ans) et 30,8 % (30-39 ans) affirment avoir été plus victimes de violence physique ou sexuelle. Par ailleurs, 43,80 % de la population avant la période de Covid-19 était victime de VBG contre 56,20 % en période de Covid-19.
C'est dans ce cadre que les acteurs multipartites et multifactoriels comme l'Etat, les institutions compétentes ainsi que les organisations et réseaux de défense des droits des femmes ont consenti des efforts considérables pour lutter contre ce fléau. Mais, l'absence de données statistiques nationales rend difficile l'atteinte de cet objectif pour tous les acteurs par l'Etat, les OSCS (Observatoire de la Solidarité et de la cohésion sociale) et réseaux de défense des droits des femmes et les parties prenantes. C'est ainsi dans une dynamique inclusive et participative, le projet « Promouvoir une police centrée sur les survivants des VBG en Afrique de l'Ouest » vise à « Réduire drastiquement les cas de violence sexuels et sexiste grâce à des données probantes susceptibles de proposer un modèle positif du secteur de la sécurité afin d'améliorer la prévention et les réponses aux VBG en Afrique de l'Ouest particulièrement au Sénégal et au Nigéria », a expliqué le professeur Adjaratou Wakh Aidara Ndiaye.
Ses missions favorisent la promotion d'une gestion inclusive de la sécurité et du leadership des femmes et des jeunes en Afrique de l'Ouest. Partners West Africa- Sénégal (PWA-Sénégal), avec le soutien et l'accompagnement des partenaires techniques et financiers, contribue à l'amélioration des conditions des femmes à travers différents projets en Afrique de l'Ouest. À la fin de l’atelier, le rapport avec les recommandations sera transmis aux autorités et aux institutions.