Le président de l’Agence Nationale pour l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI), Karim Wade à l’Assemblée nationale a provoqué un remous au sein de l’Hémicycle. Des élus aussi bien de l’opposition que de la majorité ruent dans les brancards et dénoncent les conditions dans lesquelles on veut faire passer le fils du chef de l’Etat. Le leader du Parti de la Renaissance et de la Citoyenneté (PRC) membre de la Convergence des Actions autour du président de la République pour le 21e siècle (CAP 21) a fait savoir que «des préalables devront être remplis» avant l’audition des responsables de l’ANOCI par l’Assemblée nationale. Hôte de l’émission «Remue-ménage» de la RFM en compagnie du président de l’Union Nationale des Consommateurs du Sénégal (UNCS), El Hadji Niang, Samba Diouldé Thiam a rappelé que «l’année dernière, il a été impossible que l’ANOCI vient se présenter à l’assemblée nationale et la conséquence de sa convocation a été la révision de l’article 60 de la Constitution pour limoger le président de l’assemblée nationale» d’alors, Macky Sall.
Le député du groupe parlementaire Libéral et démocratique a qualifie l’hémicycle «d’une scène, un théâtre» qui a besoin de personne pour assister à la prestation d’un acteur». Cependant, a-t-il tenu à indiqué «il a été envoyé pour connaître les dossiers de l’Etat, de la situation du pays et pour parler de tous ces problèmes».
Samba Diouldé Thiam a, par ailleurs fait savoir que «les travaux de la commission n’ont jamais fait l’objet d’une diffusion publique. A ce titre, je ne vois pas pourquoi faire tant de tapages».
Le président de l’UNCS et professeur de radiologie, professeur El Hadji Niang a presque abondé dans le même sens que le secrétaire général du PRC. Mais, il s’est plus appesanti sur la nécessité d’auditer l’ANOCI. «C’est une bonne chose que les administrateurs de l’ANOCI aient enfin réalisé que ce dossier ne peut pas être laissé en rade. Le dossier doit être discuté et ils doivent rendre compte aujourd’hui aux populations, ils doivent faire la clarification de leur gestion une priorité», a explique le chef de service radiologie de l’hôpital Aristide Le Dantec.
Le député du groupe parlementaire Libéral et démocratique a qualifie l’hémicycle «d’une scène, un théâtre» qui a besoin de personne pour assister à la prestation d’un acteur». Cependant, a-t-il tenu à indiqué «il a été envoyé pour connaître les dossiers de l’Etat, de la situation du pays et pour parler de tous ces problèmes».
Samba Diouldé Thiam a, par ailleurs fait savoir que «les travaux de la commission n’ont jamais fait l’objet d’une diffusion publique. A ce titre, je ne vois pas pourquoi faire tant de tapages».
Le président de l’UNCS et professeur de radiologie, professeur El Hadji Niang a presque abondé dans le même sens que le secrétaire général du PRC. Mais, il s’est plus appesanti sur la nécessité d’auditer l’ANOCI. «C’est une bonne chose que les administrateurs de l’ANOCI aient enfin réalisé que ce dossier ne peut pas être laissé en rade. Le dossier doit être discuté et ils doivent rendre compte aujourd’hui aux populations, ils doivent faire la clarification de leur gestion une priorité», a explique le chef de service radiologie de l’hôpital Aristide Le Dantec.