Participant dans le budget de l’Etat à hauteur de 691 milliards avec plus de 600.000 emplois en 2011 avec une contribution de 1,3% au Produit Intérieur Brut (PIB) et une balance commerciale de 12,5%, le secteur de la pêche, en troisième position derrière les produits pétroliers et l’acide sulfurique, est en de plus en plus en régression, alerte le ministre en charge de la question en plus de l’économie maritime. Pape Diouf qui identifie par ailleurs deux paris à remporter pour lever ce frein.
Le défi de la gestion durable et de l’assainissement du sous-secteur de l’halieutique en faisant face à la faible régulation à l’accès à ces ressources, à la surexploitation des principaux stocks, au manque de connaissance et de suivi sur la pêche artisanale, …
Pour sa part, le premier ministre qui s’intéresse au pillage des ressources maritimes sénégalaises par des navires étrangers, reconnait par ailleurs « la faiblesse du système de surveillance maritime » qu’il juge « défectueux ».
A cet effet, tout en préconisant que le « système radar est facile à contourner », Abdoul Mbaye propose de « passer à la surveillance satellitaire et ce, en s’inspirant du modèle marocain », sur les colonnes du journal « L’Observateur ».
Le défi de la gestion durable et de l’assainissement du sous-secteur de l’halieutique en faisant face à la faible régulation à l’accès à ces ressources, à la surexploitation des principaux stocks, au manque de connaissance et de suivi sur la pêche artisanale, …
Pour sa part, le premier ministre qui s’intéresse au pillage des ressources maritimes sénégalaises par des navires étrangers, reconnait par ailleurs « la faiblesse du système de surveillance maritime » qu’il juge « défectueux ».
A cet effet, tout en préconisant que le « système radar est facile à contourner », Abdoul Mbaye propose de « passer à la surveillance satellitaire et ce, en s’inspirant du modèle marocain », sur les colonnes du journal « L’Observateur ».