« Un tel arrêté n’est pas conforme à la légalité, car à l’origine de l’arrêt des travaux, décidé par la même autorité administrative, indiquait qu’on doit attendre que la procédure judiciaire soit vidée et éviter tout trouble à l’ordre public », explique Serigne Moustapha Saliou qui indique par ailleurs que la décision de la Cour suprême renvoie les deux parties devant la Cour d’appel.
« La requête introduite par la société Dangote aux fins d’annuler l’arrêté préfectoral portant arrêt des travaux de l’usine n’a pas abouti jusqu’à ce jour. Autant de faits qui rendent illégal et non conforme ce nouvel arrêté », tonne-t-il. Serigne Moustapha Saliou n’a pas manqué de préciser que l’information sur un prétendu accord entre les deux parties n’est pas avérée. « Nous avons certes reçu la lettre d’excuse de M. Dangote qui a reconnu l’empiètement de l’usine sur les champs de Serigne Saliou en manifestant son option de régler le litige à l’amiable, mais il n’y a toujours pas d’entente », fait savoir le marabout.
« La requête introduite par la société Dangote aux fins d’annuler l’arrêté préfectoral portant arrêt des travaux de l’usine n’a pas abouti jusqu’à ce jour. Autant de faits qui rendent illégal et non conforme ce nouvel arrêté », tonne-t-il. Serigne Moustapha Saliou n’a pas manqué de préciser que l’information sur un prétendu accord entre les deux parties n’est pas avérée. « Nous avons certes reçu la lettre d’excuse de M. Dangote qui a reconnu l’empiètement de l’usine sur les champs de Serigne Saliou en manifestant son option de régler le litige à l’amiable, mais il n’y a toujours pas d’entente », fait savoir le marabout.