L’approche de la Tabaski est le moment propice pour les voleurs de dépouiller les honnêtes citoyens. A. F. fait partie de ces personnes. Durant une journée, il a eu à dérober 3 téléphones portables. Par la suite, il a été arrêté par les limiers. Une fouille corporelle a permis de découvrir les puces de ces portables volés. C’est ainsi qu’il a été déféré au parquet avant d’être placé sous mandat de dépôt, rapporte « l’AS ».
Hier vendredi, A.F a fait face au juge du tribunal des Flagrants délits de Pikine Guédiawaye pour répondre du chef de vol à bord d’un moyen de transport en commun, sur 3 personnes.
Il a nié les faits qui lui sont reprochés. Selon lui, le jour de son arrestation coïncide avec le lundi. « Je devais partir au boulot. En cours de route, je suis descendu au cinéma de Thiaroye. Sur place, la police m’a arrêté. Ils ont trouvé 3 téléphones dans mon sac, que j’ai acheté au marché noir. Je ne savais pas que les téléphones étaient volés », s’est-il dédouané.
Le parquet n’a pas manqué de rappeler que les victimes ont appelé sur les téléphones et ils sont venus les récupérer.
Le Ministère public a requis deux ans ferme. L’avocat de la défense, a plaidé une application bienveillante de la loi. Finalement, le tribunal a suivi le réquisitoire du maître des poursuites en condamnant A.F à deux ans ferme.
Hier vendredi, A.F a fait face au juge du tribunal des Flagrants délits de Pikine Guédiawaye pour répondre du chef de vol à bord d’un moyen de transport en commun, sur 3 personnes.
Il a nié les faits qui lui sont reprochés. Selon lui, le jour de son arrestation coïncide avec le lundi. « Je devais partir au boulot. En cours de route, je suis descendu au cinéma de Thiaroye. Sur place, la police m’a arrêté. Ils ont trouvé 3 téléphones dans mon sac, que j’ai acheté au marché noir. Je ne savais pas que les téléphones étaient volés », s’est-il dédouané.
Le parquet n’a pas manqué de rappeler que les victimes ont appelé sur les téléphones et ils sont venus les récupérer.
Le Ministère public a requis deux ans ferme. L’avocat de la défense, a plaidé une application bienveillante de la loi. Finalement, le tribunal a suivi le réquisitoire du maître des poursuites en condamnant A.F à deux ans ferme.