Le Sénégal produit chaque année entre 7 000 et 10 000 tonnes de déchets issus des sachets d’eau jetables, a alerté dimanche à Thiès le secrétaire général du Collectif des acteurs de l’eau filtrée (CAES), Balla Diop. Il intervenait lors d’un conclave préparatoire à un atelier consacré à la pollution plastique prévu les 15 et 16 décembre.
Selon lui, le collectif a instauré des cotisations pour organiser la collecte des déchets générés par ses membres. « Les sachets d’eau sont collectés, triés puis envoyés vers des unités de recyclage », a-t-il expliqué, tout en reconnaissant que certaines usines produisent un « volume assez important » de plastique.
Le CAES se dit engagé sur le terrain. « À chaque journée d’investissement humain, au niveau de l’État, des quartiers ou des plages, nous avons toujours été présents », affirme M. Diop. Le collectif a ainsi acquis un container de 3 millions de francs CFA destiné au ramassage des déchets plastiques pour accompagner la mairie de Saint-Louis.
À Dakar, ses membres disposent d’une usine capable de recycler 100 tonnes de déchets par mois, en plus des volumes traités par d’autres unités du réseau, informe l'Agence de presse sénégalaise (APS).
« Le CAES ne s’est pas contenté de faire des propositions. Nous sommes en mesure de récupérer et recycler les déchets que nous produisons », a assuré son secrétaire général.
Selon lui, le collectif a instauré des cotisations pour organiser la collecte des déchets générés par ses membres. « Les sachets d’eau sont collectés, triés puis envoyés vers des unités de recyclage », a-t-il expliqué, tout en reconnaissant que certaines usines produisent un « volume assez important » de plastique.
Le CAES se dit engagé sur le terrain. « À chaque journée d’investissement humain, au niveau de l’État, des quartiers ou des plages, nous avons toujours été présents », affirme M. Diop. Le collectif a ainsi acquis un container de 3 millions de francs CFA destiné au ramassage des déchets plastiques pour accompagner la mairie de Saint-Louis.
À Dakar, ses membres disposent d’une usine capable de recycler 100 tonnes de déchets par mois, en plus des volumes traités par d’autres unités du réseau, informe l'Agence de presse sénégalaise (APS).
« Le CAES ne s’est pas contenté de faire des propositions. Nous sommes en mesure de récupérer et recycler les déchets que nous produisons », a assuré son secrétaire général.