Selon Pape Ndong il y a ceux qui sont « instruits-qualifiés », les « instruits non-qualifiés », les « non instruits-qualifiés » et les « non instruits non qualifiés » ». Pour ne pas traiter les demandes d’emploi de manière individuelle l’Agence va mettre sur pied ces grappes. « C’est sur cette base que nous voulons que chaque groupe ait son modèle d’insertion en passant par la formation », indique Mr Ndong.
S’agissant de la première grappe, ce sont des jeunes qui sont opérationnels. Pour la deuxième, il leur faut une qualification avec des modules de formation de courte durée mais adaptées au monde de l’emploi. Pour une efficacité dans la prise en charge des jeunes dans la troisième grappe, il sera question de la mise sur pied d’un « Institut des métiers » en banlieue pour les corps de métier. « Du fait que leur expérience n’est plus à démontrer ces jeunes de la troisième grappe ont juste besoin d’un cadre pour améliorer leurs conditions de vie comme par exemple des fermes agricoles qui verront bientôt le jour» annonce-t-il.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
S’agissant de la première grappe, ce sont des jeunes qui sont opérationnels. Pour la deuxième, il leur faut une qualification avec des modules de formation de courte durée mais adaptées au monde de l’emploi. Pour une efficacité dans la prise en charge des jeunes dans la troisième grappe, il sera question de la mise sur pied d’un « Institut des métiers » en banlieue pour les corps de métier. « Du fait que leur expérience n’est plus à démontrer ces jeunes de la troisième grappe ont juste besoin d’un cadre pour améliorer leurs conditions de vie comme par exemple des fermes agricoles qui verront bientôt le jour» annonce-t-il.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)