Le Gradec veut prévenir les risques qui pourraient planer sur le scrutin du 24 février prochain. C’est dans cette optique que cette organisation de la société civile a convié des acteurs politiques à un panel qu’elle a organisé mercredi 18 décembre à Dakar, lequel panel avait pour objectif de réfléchir sur les moyens pouvant écarter les suspicions à l’issue de ce rendez-vous.
Cette rencontre est venue à son heure, a affirmé le président de cette entité, Magid Ndiaye : «De2000 à 2012, on n’a pas eu l’occasion de dire que l’intégrité a été menacée. Mais, la menace existe», indique-t-il.
A l’en croire, l’appréhension c’est qu’au jour du vote, que des bulletins soient remplacés au cours du trajet entre le centre de vote et la Cour d’Appel. C’est dans ce sens qu’ils ont convenu, à l’unanimité de mettre à contribution des commissaires assermentés qui se chargeront du transport.
Selon lui, cette sécurisation pourrait éviter des controverses autour des résultats qui seront publiés par les structures qui en auront la charge.
Cette rencontre est venue à son heure, a affirmé le président de cette entité, Magid Ndiaye : «De2000 à 2012, on n’a pas eu l’occasion de dire que l’intégrité a été menacée. Mais, la menace existe», indique-t-il.
A l’en croire, l’appréhension c’est qu’au jour du vote, que des bulletins soient remplacés au cours du trajet entre le centre de vote et la Cour d’Appel. C’est dans ce sens qu’ils ont convenu, à l’unanimité de mettre à contribution des commissaires assermentés qui se chargeront du transport.
Selon lui, cette sécurisation pourrait éviter des controverses autour des résultats qui seront publiés par les structures qui en auront la charge.