Comme annoncé par ses avocats lundi, Simone Gbagbo était effectivement présente dans le box des accusés ce matin. Elle est arrivée vers 11h30, comme souvent, souriante, au bras de son avocat principal, Maître Rodrigue Dadjé.
Vêtue d’une longue robe bleu foncé, l’ex-Première dame de Côte d’Ivoire a salué l’auditoire avant de serrer également les mains des avocats de la partie civile. On a même pu assister à certaines accolades avant que Simone Gbagbo ne regagne le box des accusés.
Sur le fond, cette matinée était consacrée à un débat entre le procureur général, Ali Yéo, et la défense, toujours sur le même thème, à savoir les témoins clés, essentiels que souhaite entendre la défense de Simone Gbagbo: Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale, le chef de l’état-major des armées à l’époque des faits, Philippe Mangou, ou encore l’ex-Premier ministre Jeannot Kouadio-Ahoussou.
Rodrigue Dadjé, pour que les procédures de convocation soient établies en bonne et due forme, propose un report du procès le 13 février 2017, le temps d’acheminer les demandes et les courriers de convocation. Une demande qui est encore en discussion et qui n’est pas certaine d’aboutir à un succès du point de vue de la défense. Ce qui est certain, en revanche, c’est que ce procès qui a débuté le 31 mai dernier promet d’être plus long que prévu.
Vêtue d’une longue robe bleu foncé, l’ex-Première dame de Côte d’Ivoire a salué l’auditoire avant de serrer également les mains des avocats de la partie civile. On a même pu assister à certaines accolades avant que Simone Gbagbo ne regagne le box des accusés.
Sur le fond, cette matinée était consacrée à un débat entre le procureur général, Ali Yéo, et la défense, toujours sur le même thème, à savoir les témoins clés, essentiels que souhaite entendre la défense de Simone Gbagbo: Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale, le chef de l’état-major des armées à l’époque des faits, Philippe Mangou, ou encore l’ex-Premier ministre Jeannot Kouadio-Ahoussou.
Rodrigue Dadjé, pour que les procédures de convocation soient établies en bonne et due forme, propose un report du procès le 13 février 2017, le temps d’acheminer les demandes et les courriers de convocation. Une demande qui est encore en discussion et qui n’est pas certaine d’aboutir à un succès du point de vue de la défense. Ce qui est certain, en revanche, c’est que ce procès qui a débuté le 31 mai dernier promet d’être plus long que prévu.
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