
Le procès de Hissène Habré risque d’être une répétition du film qui s’est joué lors de l’instruction. En effet, le juge des Chambres africaines extraordinaires a intimé l’ordre d’amener, demain, l’ancien président de la République du Tchad si ce dernier, comme il l’a laissé entendre, refuse de comparaitre. Ce refus de l’ancien homme fort du Tchadien a occasionné la suspension de l’audience jusqu’à demain 9 heures.
Pour sa part, l’ancien homme fort du Tchad a qualifié les Chambres africaines extraordinaires, de «Comité administratif extraordinaire». En continuant de refuser de déférer à la convocation du juge, Hissène Habré poursuit sa logique qui est de ne pas être jugé par une Cour dont il ne reconnait ni la légalité, encore moins la légitimité.
Rendez-vous est donné pour demain 9 heures afin de répondre de répondre à la question : «Comment va venir Hissène Habré demain ? Car, vu la détermination du président de la Cour, il sera bel et bien président «bon gré mal gré.»
Pour sa part, l’ancien homme fort du Tchad a qualifié les Chambres africaines extraordinaires, de «Comité administratif extraordinaire». En continuant de refuser de déférer à la convocation du juge, Hissène Habré poursuit sa logique qui est de ne pas être jugé par une Cour dont il ne reconnait ni la légalité, encore moins la légitimité.
Rendez-vous est donné pour demain 9 heures afin de répondre de répondre à la question : «Comment va venir Hissène Habré demain ? Car, vu la détermination du président de la Cour, il sera bel et bien président «bon gré mal gré.»