En effet, la lettre de tous les avocats de la défense est claire comme de l'eau de roche. ce collectif à compter de l'audience d'hier, mardi 20 janvier, a décidé de suspendre sa participation au procès ouvert le 31 juillet 2014 devant la Cour de Répression de l'Enrichissement Illicite (CREI). Une décision qu'ils qualifient de "grave". Mais qui selon eux, "est malheureusement la seule réponse possible". Ceci, face aux "errements de la Cour". Mais en particulier, "de son président qui a définitivement fait la preuve qu'il n'est pas un Magistrat impartial du moins dans le cadre de cette affaire".
"Depuis l'ouverture du procès, il se trouve hélas que le président Henry Grégoire Diop s'est signalé par des excès". La lettre en pièce jointe des avocats de Karim et ses co-prévenus qui dénonce par ailleurs les "traitements inhumains et dégradants, les abus d'autorité infligés aux prévenus".
"Depuis l'ouverture du procès, il se trouve hélas que le président Henry Grégoire Diop s'est signalé par des excès". La lettre en pièce jointe des avocats de Karim et ses co-prévenus qui dénonce par ailleurs les "traitements inhumains et dégradants, les abus d'autorité infligés aux prévenus".