Le PDS compte aller dans les législatifs biens armés pour faire face au pouvoir en place. Ainsi les libéraux entendent bien aborder les prochaines échéances électorales. Et, pour cela, ils vont dérouler toute une stratégie pour bien attaquer le pouvoir en place.
En réunion hier, les libéraux se disent ragaillardis par le référendum du 20 mars «après ces échéances, le parti s’est bonifié et s’est bien testé. Il a montré qu’il est la première force politique du Sénégal », à en croire ces responsables libéraux, dans les colonnes de l’As.
Selon ces mêmes responsables, « le temps de la conquête du pouvoir est arrivé, une reconquête qui démarre avec un séminaire au niveau local qui va déboucher sur une analyse qui permettra au PDS d’avoir une cartographie nationale de la présence des responsables du parti dans l’espace et de mettre en place la dream team du parti.
Et pour que toutes ces séries de mesures qui visent la reconquête du pouvoir, puissent produire l'effet escompté, le PDS exige sans délai l’audit du fichier électoral et le départ du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, car à les en croire un ministre partisan ne peut organiser une élection sincère et crédible.
En réunion hier, les libéraux se disent ragaillardis par le référendum du 20 mars «après ces échéances, le parti s’est bonifié et s’est bien testé. Il a montré qu’il est la première force politique du Sénégal », à en croire ces responsables libéraux, dans les colonnes de l’As.
Selon ces mêmes responsables, « le temps de la conquête du pouvoir est arrivé, une reconquête qui démarre avec un séminaire au niveau local qui va déboucher sur une analyse qui permettra au PDS d’avoir une cartographie nationale de la présence des responsables du parti dans l’espace et de mettre en place la dream team du parti.
Et pour que toutes ces séries de mesures qui visent la reconquête du pouvoir, puissent produire l'effet escompté, le PDS exige sans délai l’audit du fichier électoral et le départ du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, car à les en croire un ministre partisan ne peut organiser une élection sincère et crédible.