«Servir les enfants à l’école» est l’objectif que s’est fixée le maire de Dakar, Khalifa Sall lors de la cérémonie de lancement de son programme pour la petite enfance, intitulé « santé à l’école ». Ce nouveau projet est le fruit d’un partenariat entre la mairie de Dakar, le ministère de la santé, celui de l’éducation nationale et l’association des médecins de brousse.
Pour faire de ce programme une réussite, le maire a énuméré une série de mesures parmi lesquelles : donner des bourses aux enfants dés l’école primaire, leur permettre de faire du sport ensuite de se soigner pour avoir une bonne santé. «Car pour réussir dans les études il faut être en bonne santé et avoir une bonne hygiène de vie» a soutenu le premier magistrat de la ville de Dakar. Il a aussi expliqué que ce geste n’est que le début d’un long processus qui va s’élargir par une formation qualifiée des ouvriers comme les mécaniciens et les garagistes. Car après un échec scolaire, ces lieux sont de secondes écoles d’apprentissage pour les enfants. Donc « il va falloir former ces derniers soient soutenus» a-t-il déclaré.
Cette idée est soutenue et appuyée par le maire de la commune de Gueule Tapée Fass Colobane, madame Seynabou Wade en ces termes « un esprit sain dans un corps sain ». Elle ajoute que ce programme doit être renforcé et suivi car «l’éducation est le clé du développement humain».
Même son de cloche de la part de l’association des parents d’élèves ainsi que du collectif des inspecteurs.
L’inspecteur Moussa Ndoye, porte parole du collectif des inspecteurs d’Etat soutient que « par expérience les maux de l’école sénégalaise sont la santé et la malnutrition ».
L’Etat, pour sa part affirme vouloir élargit ce travail sur l’ensemble du territoire nationale dans les plus brefs délais.
Pour faire de ce programme une réussite, le maire a énuméré une série de mesures parmi lesquelles : donner des bourses aux enfants dés l’école primaire, leur permettre de faire du sport ensuite de se soigner pour avoir une bonne santé. «Car pour réussir dans les études il faut être en bonne santé et avoir une bonne hygiène de vie» a soutenu le premier magistrat de la ville de Dakar. Il a aussi expliqué que ce geste n’est que le début d’un long processus qui va s’élargir par une formation qualifiée des ouvriers comme les mécaniciens et les garagistes. Car après un échec scolaire, ces lieux sont de secondes écoles d’apprentissage pour les enfants. Donc « il va falloir former ces derniers soient soutenus» a-t-il déclaré.
Cette idée est soutenue et appuyée par le maire de la commune de Gueule Tapée Fass Colobane, madame Seynabou Wade en ces termes « un esprit sain dans un corps sain ». Elle ajoute que ce programme doit être renforcé et suivi car «l’éducation est le clé du développement humain».
Même son de cloche de la part de l’association des parents d’élèves ainsi que du collectif des inspecteurs.
L’inspecteur Moussa Ndoye, porte parole du collectif des inspecteurs d’Etat soutient que « par expérience les maux de l’école sénégalaise sont la santé et la malnutrition ».
L’Etat, pour sa part affirme vouloir élargit ce travail sur l’ensemble du territoire nationale dans les plus brefs délais.