Les académiciens réunis au sein de l’ANSTS attirent l’attention des autorités sur les proportions inquiétantes que prend la maladie de l’asthme. D’ailleurs déclare Professeur Mamadou Ba qui présentait le thème «Asthme et environnement », les chiffres parlent d’eux-mêmes.
«Au Sénégal nous avons des statistiques hospitalières qui nous font état d’incidence du taux d’asthme qui varie entre 3% pour les enfants et 6% adultes, mais ces incidences ne reflètent pas la réalité, nous pensons que la fréquence est beaucoup plus élevée dans la population générale et a atteint 10%», a-t-il déclaré.
Le professeur Ba, par ailleurs pédiatre et pneumologue soutient que, si les mesures idoines ne sont pas prises par les autorités, la maladie va progresser aussi bien dans les pays développés, que dans ceux en voie de développement car, cette maladie est liée essentiellement «à la pollution et l’altération des facteurs environnementaux».
D’autant plus que, rappelle-t-il se basant sur les chiffres donnés par l’OMS «il y a 300 millions de personnes qui sont concernées actuellement et cette maladie est responsable de 250 000 décès annuels au niveau mondial, des incidents de 1,6% à 3,8% ont été signalés».
«Au Sénégal nous avons des statistiques hospitalières qui nous font état d’incidence du taux d’asthme qui varie entre 3% pour les enfants et 6% adultes, mais ces incidences ne reflètent pas la réalité, nous pensons que la fréquence est beaucoup plus élevée dans la population générale et a atteint 10%», a-t-il déclaré.
Le professeur Ba, par ailleurs pédiatre et pneumologue soutient que, si les mesures idoines ne sont pas prises par les autorités, la maladie va progresser aussi bien dans les pays développés, que dans ceux en voie de développement car, cette maladie est liée essentiellement «à la pollution et l’altération des facteurs environnementaux».
D’autant plus que, rappelle-t-il se basant sur les chiffres donnés par l’OMS «il y a 300 millions de personnes qui sont concernées actuellement et cette maladie est responsable de 250 000 décès annuels au niveau mondial, des incidents de 1,6% à 3,8% ont été signalés».