Représentant le président de la République, Macky Sall, Abdou Latif Coulibaly a laissé clairement entendre qu’il est temps de rectifier le tire en ce concerne l’épineuse question de la gouvernance et de la démocratie en Afrique. « La tâche la plus délicate reste la mise en œuvre effective de ces normes (bonne gouvernance, démocratie, droits de l’homme, l’Etat de droit, etc.) aux niveaux local, national, régional et continental », soutient le porte-parole du gouvernement sénégalais.
Pour lui, « la gouvernance dans nos pays a été caractérisée par une évolution contrastée en Afrique dans la dernière décennie. De nombreuses avancées ont pu être observées tant au niveau des Etats que des structures et programmes régionaux Africains de gouvernance. … Dans la plupart de nos Etats, les bonnes performances économiques n’ont pas été concomitantes ou inféré une meilleure gouvernance démocratique et de développement ».
Il reste catégorique qu’ « il n’y aura pas de réponse aux défis de développement de l’Afrique s’il n’ya pas simultanément de réponse aux enjeux de justice sociale globale, en même temps qu’un travail sur une communauté de destin » et pour ce, « de nombreux paradigmes d’une gouvernance solidaire et globale mondiale doivent être explorés ».
C’était à l’occasion de la cérémonie d’ouverture sur les « Consultations de haut niveau sur la Gouvernance et la démocratie : tendances, défis et enjeux », organisées à Dakar par le Département des Affaires Politiques de la Commission de l’Union africaine en partenariat avec l’IAG, le PNUD et la GIZ.
Pour lui, « la gouvernance dans nos pays a été caractérisée par une évolution contrastée en Afrique dans la dernière décennie. De nombreuses avancées ont pu être observées tant au niveau des Etats que des structures et programmes régionaux Africains de gouvernance. … Dans la plupart de nos Etats, les bonnes performances économiques n’ont pas été concomitantes ou inféré une meilleure gouvernance démocratique et de développement ».
Il reste catégorique qu’ « il n’y aura pas de réponse aux défis de développement de l’Afrique s’il n’ya pas simultanément de réponse aux enjeux de justice sociale globale, en même temps qu’un travail sur une communauté de destin » et pour ce, « de nombreux paradigmes d’une gouvernance solidaire et globale mondiale doivent être explorés ».
C’était à l’occasion de la cérémonie d’ouverture sur les « Consultations de haut niveau sur la Gouvernance et la démocratie : tendances, défis et enjeux », organisées à Dakar par le Département des Affaires Politiques de la Commission de l’Union africaine en partenariat avec l’IAG, le PNUD et la GIZ.