Le Premier ministre Ousmane Sonko se présentera ce vendredi matin devant l'Assemblée nationale pour la traditionnelle séance de questions d’actualité. Mais cet exercice démocratique sera une nouvelle fois marqué par l'absence retentissante d’une grande partie de l'opposition. Le chef du gouvernement risque de se retrouver seul face aux députés de son propre parti, Pastef.
Prévue par l’article 104 du Règlement intérieur pour assurer le contrôle de l’action gouvernementale, cette rencontre tourne à la confrontation politique. Les groupes Takku-Wallu et les non-inscrits ont confirmé leur décision de ne pas siéger, réitérant le geste du 14 avril dernier. Seul Cheikh Tidiane Youm du Parti de l'Unité et du Rassemblement (PUR) devrait faire exception.
Cette fronde, initiée cette fois-ci par les députés sans appartenance et suivie par le groupe majoritaire de l’opposition, est justifiée par plusieurs griefs majeurs. Selon un interlocuteur du Quotidien, l’opposition refuse de « servir de faire-valoir » au Premier ministre, l’accusant de vouloir « effectuer son show politique » à la suite de son récent meeting du 8 novembre.
Prévue par l’article 104 du Règlement intérieur pour assurer le contrôle de l’action gouvernementale, cette rencontre tourne à la confrontation politique. Les groupes Takku-Wallu et les non-inscrits ont confirmé leur décision de ne pas siéger, réitérant le geste du 14 avril dernier. Seul Cheikh Tidiane Youm du Parti de l'Unité et du Rassemblement (PUR) devrait faire exception.
Cette fronde, initiée cette fois-ci par les députés sans appartenance et suivie par le groupe majoritaire de l’opposition, est justifiée par plusieurs griefs majeurs. Selon un interlocuteur du Quotidien, l’opposition refuse de « servir de faire-valoir » au Premier ministre, l’accusant de vouloir « effectuer son show politique » à la suite de son récent meeting du 8 novembre.