
C’est l’autre pan du processus de paix qui tarde. Après la signature de l’accord entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda à Washington, le processus de Doha, lui, ne suit pas le même rythme. Il est pourtant essentiel pour compléter l'accord de Washington. Mais les divergences restent profondes entre les parties. La pression, elle, vient désormais des États-Unis, en plus de Doha.Les Américains veulent un accord global et pour eux, cela passe aussi par Doha. C’est aussi ce qu’a rappelé, vendredi 4 juillet, le président rwandais Paul Kagame. Selon lui, « Washington et Doha sont les deux faces d’une même pièce. »
Du côté congolais aussi, on tient à cet accord. Félix Tshisekedi l’a dit il y a cinq jours : « Le processus de Doha vise à rétablir l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire. »
Cependant, en coulisses, la Maison Blanche pousse fort. Elle met la pression sur Kigali, sur Kinshasa et sur l’AFC/M23, selon plusieurs sources, dans l’objectif de faire revenir toutes les parties à Doha, rapidement, et surtout avec des hauts responsables, pas seulement des experts.
Le calendrier est serré. En effet, les discussions, doivent reprendre dans moins d’une semaine, espèrent les médiateurs, selon nos informations.
Washington espère un accord, avant la rencontre prévue, à la Maison Blanche, dans le courant de ce mois de juillet, avec les dirigeants africains dont Félix Tshisekedi et Paul Kagame.
Et pour y parvenir, les États-Unis veulent assister à ce round de négociations. Ils espèrent que ce sera le dernier.
Du côté congolais aussi, on tient à cet accord. Félix Tshisekedi l’a dit il y a cinq jours : « Le processus de Doha vise à rétablir l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire. »
Cependant, en coulisses, la Maison Blanche pousse fort. Elle met la pression sur Kigali, sur Kinshasa et sur l’AFC/M23, selon plusieurs sources, dans l’objectif de faire revenir toutes les parties à Doha, rapidement, et surtout avec des hauts responsables, pas seulement des experts.
Le calendrier est serré. En effet, les discussions, doivent reprendre dans moins d’une semaine, espèrent les médiateurs, selon nos informations.
Washington espère un accord, avant la rencontre prévue, à la Maison Blanche, dans le courant de ce mois de juillet, avec les dirigeants africains dont Félix Tshisekedi et Paul Kagame.
Et pour y parvenir, les États-Unis veulent assister à ce round de négociations. Ils espèrent que ce sera le dernier.