Selon le porte-parole Jolino Makelele, cette question de la composition des cabinets ministériels a été en bonne place vendredi dans les débats de la réunion du gouvernement.
Le Premier ministre Sylvestre Ilunga a évoqué le décret de 2007. Selon ce texte, chaque ministère dispose d’un seul cabinet qui comprend un directeur, un directeur adjoint, sept conseillers, un chargé de mission et un secrétaire particulier. Et là où se trouve un vice-ministre, ce texte prévoit deux membres de cabinet supplémentaires : un chargé de mission et un secrétaire particulier.
Il y a aussi le personnel d’appoint qui se compose d'environ une vingtaine de personnes, dont au moins quatre sont des agents que l’administration publique met à la disposition du ministère.
Pour certains, c’est insuffisant, surtout lorsqu’il faut céder aux exigences des partis dont plusieurs demandent un quota d’environ 70% des postes dans les cabinets.
Le débat est donc très animé. Dans l’opinion, on s’inquiète. Soixante-cinq membres du gouvernement avec chacun un personnel de cabinet aussi important, cela prendra une grosse part du budget de l’État. Les priorités telles que définies par le Premier ministre lui-même risquent d’en pâtir.
Le Premier ministre Sylvestre Ilunga a évoqué le décret de 2007. Selon ce texte, chaque ministère dispose d’un seul cabinet qui comprend un directeur, un directeur adjoint, sept conseillers, un chargé de mission et un secrétaire particulier. Et là où se trouve un vice-ministre, ce texte prévoit deux membres de cabinet supplémentaires : un chargé de mission et un secrétaire particulier.
Il y a aussi le personnel d’appoint qui se compose d'environ une vingtaine de personnes, dont au moins quatre sont des agents que l’administration publique met à la disposition du ministère.
Pour certains, c’est insuffisant, surtout lorsqu’il faut céder aux exigences des partis dont plusieurs demandent un quota d’environ 70% des postes dans les cabinets.
Le débat est donc très animé. Dans l’opinion, on s’inquiète. Soixante-cinq membres du gouvernement avec chacun un personnel de cabinet aussi important, cela prendra une grosse part du budget de l’État. Les priorités telles que définies par le Premier ministre lui-même risquent d’en pâtir.