Quelques jours avant la date butoir, le 1er octobre, le député national MS G7, Bienvenu Apalala, a écrit aux présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat pour leur rappeler d’enclencher le processus de désignation du porte-parole de l’opposition. Un mois après l’investiture du gouvernement Ilunga, il appelle Jeannine Mabunda et Alexis Thambwe Mwamba, deux figures de la coalition pro-Kabila, à prendre les dispositions requises.
C’est un poste importante pour une partie de l’opposition. Celui qui obtient ce poste devient l’interlocuteur attitré du gouvernement. Il a rang de ministre d’État, jouit des avantages et immunités et bénéficie d’une dotation du Trésor public. Même si cette loi a été adoptée sous l’ancien chef de l’État, son administration a toujours refusé de la mettre en application.
Martin Fayulu, l’ancien candidat à la présidentielle, refuse toujours de reconnaître ces institutions. La bataille se joue donc entre la plateforme Ensemble de l’ancien gouverneur Moïse Katumbi qui a le plus grand nombre d’élus, suivi par le MLC et Alliés de l’ancien vice président Jean-Pierre Bemba.
C’est un poste importante pour une partie de l’opposition. Celui qui obtient ce poste devient l’interlocuteur attitré du gouvernement. Il a rang de ministre d’État, jouit des avantages et immunités et bénéficie d’une dotation du Trésor public. Même si cette loi a été adoptée sous l’ancien chef de l’État, son administration a toujours refusé de la mettre en application.
Martin Fayulu, l’ancien candidat à la présidentielle, refuse toujours de reconnaître ces institutions. La bataille se joue donc entre la plateforme Ensemble de l’ancien gouverneur Moïse Katumbi qui a le plus grand nombre d’élus, suivi par le MLC et Alliés de l’ancien vice président Jean-Pierre Bemba.