« Un : l’honorabilité. Deux : disponibilité. Trois : probité ». Maître Mutiri du Conseil de l’ordre des avocats, énumère les qualités requises, les critères, que la société civile exigera pour ses représentants à la Commission électorale. Le projet de loi du gouvernement actuellement au Parlement, prévoit deux postes pour la société civile. Pas question, dit Jonas Tshiombela, animateur de la Nouvelle société civile congolaise.
« Une lettre va partir à l’Assemblée nationale pour dire non à ce qui nous est donné comme quota ». Il nous faut beaucoup plus que deux sièges, dit Jonas Tshiombela. « À notre sens, il nous faut huit postes. C’est ça la forte représentation de la société civile. Parce que l’idée, c’est de dépolitiser cette Commission. Qu’elle devienne réellement apolitique, indépendante ».
A cette première rencontre de la société civile lundi 1er octobre, ont participé des syndicats de médecins, d’avocats, d’enseignants, des ONG de droits de l’homme, de femmes, des patrons de PME et même des acheteurs de diamants. Le mouvement souhaite ratisser large.
Source: RFI
« Une lettre va partir à l’Assemblée nationale pour dire non à ce qui nous est donné comme quota ». Il nous faut beaucoup plus que deux sièges, dit Jonas Tshiombela. « À notre sens, il nous faut huit postes. C’est ça la forte représentation de la société civile. Parce que l’idée, c’est de dépolitiser cette Commission. Qu’elle devienne réellement apolitique, indépendante ».
A cette première rencontre de la société civile lundi 1er octobre, ont participé des syndicats de médecins, d’avocats, d’enseignants, des ONG de droits de l’homme, de femmes, des patrons de PME et même des acheteurs de diamants. Le mouvement souhaite ratisser large.
Source: RFI