Les opposants du parti Envol assurent avoir suivi la procédure. Ils ont prévenu le chef de la cité de Nioki mais, depuis, une autre autorité, le commissaire spécial adjoint du Maï-Ndombe, a fait savoir que les rassemblements politiques étaient interdits. Joint par RFI, le président du mouvement Envol, Delly Sesanga, dénonce une décision contre son parti.
« Nous sommes sous un régime qui ne se cache plus et qui devient un régime dictatorial, disons-le, où les libertés fondamentales sont bafouées. La liberté d’opinion n’est pas respectée, la liberté de manifester n’est pas garantie, la liberté de réunion - y compris pour les organes naissants politiques de l’opposition - n’est pas observée », a déclaré le président du mouvement Envol.
Le responsable qui a signé l'interdiction, Job Antoine Massamba Malika, est le commissaire spécial adjoint dans la province de Maï-Ndombe I explique que l'autorité compétente en la matière est justement la province et non pas la cité et qu'il aurait dû être prévenu et ce, quinze jours minimum, avant l'ouverture du congrès.
« Il s’agit éventuellement d’un risque pour la sécurité. Nous devons être saisis pour prendre les mesures d’encadrement parce que s’il y a un débordement, que vont me dire les autorités du pays ? », a souligné le commissaire spécial adjoint de la province de Maï-Ndombe.
Le parti Envol se réunira ce week-end pour décider de la marche à suivre et notamment pour savoir si oui ou non il faut quand même essayer d'organiser le congrès la semaine prochaine.
« Nous sommes sous un régime qui ne se cache plus et qui devient un régime dictatorial, disons-le, où les libertés fondamentales sont bafouées. La liberté d’opinion n’est pas respectée, la liberté de manifester n’est pas garantie, la liberté de réunion - y compris pour les organes naissants politiques de l’opposition - n’est pas observée », a déclaré le président du mouvement Envol.
Le responsable qui a signé l'interdiction, Job Antoine Massamba Malika, est le commissaire spécial adjoint dans la province de Maï-Ndombe I explique que l'autorité compétente en la matière est justement la province et non pas la cité et qu'il aurait dû être prévenu et ce, quinze jours minimum, avant l'ouverture du congrès.
« Il s’agit éventuellement d’un risque pour la sécurité. Nous devons être saisis pour prendre les mesures d’encadrement parce que s’il y a un débordement, que vont me dire les autorités du pays ? », a souligné le commissaire spécial adjoint de la province de Maï-Ndombe.
Le parti Envol se réunira ce week-end pour décider de la marche à suivre et notamment pour savoir si oui ou non il faut quand même essayer d'organiser le congrès la semaine prochaine.