La coordination de la société civile a reçu 16 223 signatures sur sa pétition demandant la restructuration de la Commission électorale. C’est peu, au regard des 25 millions d’électeurs congolais.
Mais le président de la Nouvelle société civile, Jonas Tshiombela, attend les retours des provinces. Tout cela va être déposé à la présidence, à l’Assemblée, au Sénat, pour obtenir le démembrement du bureau de la Céni.
« La Céni, si elle était sérieuse, elle allait démissionner carrément, parce que le travail était bâclé ! Comme elle tient à rester, alors nous allons auprès de ceux-là qui les ont placés, pour poser le problème ! », explique Tshiombela.
Et le message s’adresse aussi à la communauté internationale qui est censée soutenir la suite du processus électoral, à savoir les provinciales et les élections locales.
« La nouvelle société civile congolaise demande aux différents partenaires internationaux de la RDC, de conditionner tout soutien aux prochaines élections à la restructuration en profondeur de la Céni, à l’intégration des acteurs de la société civile », ajoute Tshiombela.
En cas d’échec, un cabinet d’avocats est constitué pour porter l’affaire en justice. Du côté de la Céni, on ne s’en inquiète pas. La société civile indépendante n’existe pas chez nous, a déjà dit son président Daniel Ngoy Mulunda. Selon lui, elle est entièrement politisée.
Source: RFI
Mais le président de la Nouvelle société civile, Jonas Tshiombela, attend les retours des provinces. Tout cela va être déposé à la présidence, à l’Assemblée, au Sénat, pour obtenir le démembrement du bureau de la Céni.
« La Céni, si elle était sérieuse, elle allait démissionner carrément, parce que le travail était bâclé ! Comme elle tient à rester, alors nous allons auprès de ceux-là qui les ont placés, pour poser le problème ! », explique Tshiombela.
Et le message s’adresse aussi à la communauté internationale qui est censée soutenir la suite du processus électoral, à savoir les provinciales et les élections locales.
« La nouvelle société civile congolaise demande aux différents partenaires internationaux de la RDC, de conditionner tout soutien aux prochaines élections à la restructuration en profondeur de la Céni, à l’intégration des acteurs de la société civile », ajoute Tshiombela.
En cas d’échec, un cabinet d’avocats est constitué pour porter l’affaire en justice. Du côté de la Céni, on ne s’en inquiète pas. La société civile indépendante n’existe pas chez nous, a déjà dit son président Daniel Ngoy Mulunda. Selon lui, elle est entièrement politisée.
Source: RFI