Les victimes étaient majoritairement dans des véhicules et sur des motos avant de tomber dans l’embuscade des miliciens Codeco.
Le président de la société civile du groupement Bahema Nord Charité Banza plaide pour une opération conjointe FARDC et UPDF contre cette milice qui sème la terreur dans la zone.
« il y avait plus de 100 personnes dans cette route-là. Dans la soirée, les commerçants qui achetaient avaient leurs marchandises dans les camions qui étaient aussi derrière, et il y avait aussi des motos qui avaient aussi des marchandises, là-dessus, raconte-t-il. Plusieurs miliciens de la Codeco sont allés tendre une embuscade juste à Lidda. Ils ont attaqué ces commerçants ambulants. Ils ont attaqué les militaires FARDC qui accompagnaient ce convoi-là. »
Charité Banza déplore l'enlèvement de plusieurs civils et le pillage de marchandises. « En tout cas, jusqu'à présent, nous avons déjà enregistré plusieurs personnes portées disparues. Plus de 104, une moto pillée par ces miliciens des Codeco, ainsi que les marchandises que ces commerçants étaient partis acheter à Baule. Nous avons vu une situation très lourde qui est insupportable. »
Le président de la société civile du groupement Bahema Nord Charité Banza plaide pour une opération conjointe FARDC et UPDF contre cette milice qui sème la terreur dans la zone.
« il y avait plus de 100 personnes dans cette route-là. Dans la soirée, les commerçants qui achetaient avaient leurs marchandises dans les camions qui étaient aussi derrière, et il y avait aussi des motos qui avaient aussi des marchandises, là-dessus, raconte-t-il. Plusieurs miliciens de la Codeco sont allés tendre une embuscade juste à Lidda. Ils ont attaqué ces commerçants ambulants. Ils ont attaqué les militaires FARDC qui accompagnaient ce convoi-là. »
Charité Banza déplore l'enlèvement de plusieurs civils et le pillage de marchandises. « En tout cas, jusqu'à présent, nous avons déjà enregistré plusieurs personnes portées disparues. Plus de 104, une moto pillée par ces miliciens des Codeco, ainsi que les marchandises que ces commerçants étaient partis acheter à Baule. Nous avons vu une situation très lourde qui est insupportable. »