• Dans une série de messages audio, le chef du groupe Wagner Evguéni Prigojine a appelé au soulèvement contre le commandement russe. Il accuse l’armée d’avoir bombardé des camps militaires du groupe Wagner. Affirmant mener une « marche pour la justice » et non un « coup d’État militaire », Evguéni Prigojine se dit « prêt à mourir » avec ses 25 000 hommes pour « libérer le peuple russe ».
• Le gouverneur de la région de Voronej a fait état de combats menés par les troupes russes. Plus tôt dans la matinée, le patron de Wagner avait annoncé que ses forces, jusqu’à présent déployées en Ukraine, avaient traversé la frontière et étaient entrées dans Rostov, où se trouve le quartier général du commandement sud de l’armée russe, d’où sont coordonnées les opérations militaires en Ukraine.
• Le parquet général russe a annoncé l’ouverture d’une enquête pour « mutinerie armée » contre Evguéni Prigojine.
• Dans une adresse à la nation, le président Vladimir Poutine a promis qu’il ne laissera pas une « guerre civile » se produire et appelle à « l’unité ». Qualifiant la rébellion de Wagner de « menace mortelle », il a accusé Evguéni Prigojine d’avoir « trahi » la Russie en raison de ses « ambitions démesurées ».
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Le Kremlin dit avoir le soutien du président turc Erdogan.
Dans un communiqué, la présidence russe indique que Vladimir Poutine a reçu le « plein soutien » de son homologue turc Recep Tayyip Erdogan lors d'un entretien téléphonique consacré à la rébellion armée du groupe Wagner.
Ramzan Kadyrov annonce envoyer ses hommes dans les « zones de tension ».
« Les combattants du ministère de la Défense et de la Garde nationale tchétchènes se sont déjà rendus dans les zones de tension. Nous ferons tout pour préserver l'unité de la Russie et protéger son statut d'État », a déclaré sur Telegram le président tchétchène Ramzan Kadyrov, dont les hommes ont été très actifs dans l'offensive russe en Ukraine.
Les chefs de la diplomatie du G7 se sont entretenus pour un « échange de vues ».
Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell indique que les ministres des Affaires étrangères du G7 se sont entretenus pour un « échange de vues ». Aucun détail n'a filtré sur le contenu de ces échanges. Washington a simplement indiqué que les États-Unis allaient rester en « étroite coordination » avec leurs alliés après ce premier échange, tout en précisant que cette rébellion ne changeait rien au soutien à l'Ukraine.
La rébellion en Russie, une « opportunité » pour l'Ukraine.
La Russie a engagé un processus conduisant à sa propre destruction en envahissant l'Ukraine, estime sur Telegram la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Ganna Maliar. « Que cela signifie-t-il pour nous ? Une fenêtre d'opportunité », ajoute-t-elle, assurant que l'Ukraine continue son travail pour la « victoire ».
Evguéni Prigojine affirme avoir pris le QG militaire de Rostov « sans coup de feu ».
« Pourquoi le pays nous soutient ? Parce que nous effectuons une marche pour la justice », dit dans un message audio sur Telegram le chef de Wagner, accusé de « trahison » par Vladimir Poutine. « Nous sommes entrés dans Rostov, et sans tirer un seul coup de feu, nous avons pris le bâtiment du quartier général », ajoute-t-il.
• Le gouverneur de la région de Voronej a fait état de combats menés par les troupes russes. Plus tôt dans la matinée, le patron de Wagner avait annoncé que ses forces, jusqu’à présent déployées en Ukraine, avaient traversé la frontière et étaient entrées dans Rostov, où se trouve le quartier général du commandement sud de l’armée russe, d’où sont coordonnées les opérations militaires en Ukraine.
• Le parquet général russe a annoncé l’ouverture d’une enquête pour « mutinerie armée » contre Evguéni Prigojine.
• Dans une adresse à la nation, le président Vladimir Poutine a promis qu’il ne laissera pas une « guerre civile » se produire et appelle à « l’unité ». Qualifiant la rébellion de Wagner de « menace mortelle », il a accusé Evguéni Prigojine d’avoir « trahi » la Russie en raison de ses « ambitions démesurées ».
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Le Kremlin dit avoir le soutien du président turc Erdogan.
Dans un communiqué, la présidence russe indique que Vladimir Poutine a reçu le « plein soutien » de son homologue turc Recep Tayyip Erdogan lors d'un entretien téléphonique consacré à la rébellion armée du groupe Wagner.
Ramzan Kadyrov annonce envoyer ses hommes dans les « zones de tension ».
« Les combattants du ministère de la Défense et de la Garde nationale tchétchènes se sont déjà rendus dans les zones de tension. Nous ferons tout pour préserver l'unité de la Russie et protéger son statut d'État », a déclaré sur Telegram le président tchétchène Ramzan Kadyrov, dont les hommes ont été très actifs dans l'offensive russe en Ukraine.
Les chefs de la diplomatie du G7 se sont entretenus pour un « échange de vues ».
Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell indique que les ministres des Affaires étrangères du G7 se sont entretenus pour un « échange de vues ». Aucun détail n'a filtré sur le contenu de ces échanges. Washington a simplement indiqué que les États-Unis allaient rester en « étroite coordination » avec leurs alliés après ce premier échange, tout en précisant que cette rébellion ne changeait rien au soutien à l'Ukraine.
La rébellion en Russie, une « opportunité » pour l'Ukraine.
La Russie a engagé un processus conduisant à sa propre destruction en envahissant l'Ukraine, estime sur Telegram la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Ganna Maliar. « Que cela signifie-t-il pour nous ? Une fenêtre d'opportunité », ajoute-t-elle, assurant que l'Ukraine continue son travail pour la « victoire ».
Evguéni Prigojine affirme avoir pris le QG militaire de Rostov « sans coup de feu ».
« Pourquoi le pays nous soutient ? Parce que nous effectuons une marche pour la justice », dit dans un message audio sur Telegram le chef de Wagner, accusé de « trahison » par Vladimir Poutine. « Nous sommes entrés dans Rostov, et sans tirer un seul coup de feu, nous avons pris le bâtiment du quartier général », ajoute-t-il.