Dinan, en Bretagne, ses remparts du XIIIe siècle, son fleuve… Le 31 décembre dernier, l’assureur de cette petite commune de l’ouest de la France de 15 000 habitants, a résilié son contrat. Le résultat est que la ville n’est plus assurée contre les atteintes aux biens.
Personne n'a souhaité reprendre le marché. Pour l’instant, la moitié des biens de la ville sont assurés par une compagnie japonaise, mais seulement pour le mois de janvier. Dinan doit donc désormais avoir recours à l’auto-assurance. Une situation qui n’est pas viable financièrement, selon le maire de la ville, Didier Lechien. « Je prends pour exemple l’incendie d’une maison qui a eu lieu en 2019, alors que nous étions encore assurés. Le sinistre se chiffre à plus de 5 millions d’euros », explique-t-il. « Pour une ville de 15 000 habitants, qui n’est pas immensément riche, s’il faut faire face à une telle dépense, vous mettez votre budget par terre », craint le maire.
Environ 2 000 communes touchées
Et il n’est pas le seul dans ce cas. Au total, environ 2 000 communes françaises ne sont plus assurées depuis le 1ᵉʳ janvier, au point que les pouvoirs publics s’inquiètent. Une mission sur l’assurabilité des communes a été lancée par l’État. Alain Chrétien, le maire de Vesoul, la copréside. Selon lui, les assureurs se retirent car « ils anticipent une augmentation continue des risques climatiques et des problèmes sociétaux ».
Dinan, en Bretagne, ses remparts du XIIIe siècle, son fleuve… Le 31 décembre dernier, l’assureur de cette petite commune de l’ouest de la France de 15 000 habitants, a résilié son contrat. Le résultat est que la ville n’est plus assurée contre les atteintes aux biens.
Personne n'a souhaité reprendre le marché. Pour l’instant, la moitié des biens de la ville sont assurés par une compagnie japonaise, mais seulement pour le mois de janvier. Dinan doit donc désormais avoir recours à l’auto-assurance. Une situation qui n’est pas viable financièrement, selon le maire de la ville, Didier Lechien. « Je prends pour exemple l’incendie d’une maison qui a eu lieu en 2019, alors que nous étions encore assurés. Le sinistre se chiffre à plus de 5 millions d’euros », explique-t-il. « Pour une ville de 15 000 habitants, qui n’est pas immensément riche, s’il faut faire face à une telle dépense, vous mettez votre budget par terre », craint le maire.
Et il n’est pas le seul dans ce cas. Au total, environ 2 000 communes françaises ne sont plus assurées depuis le 1ᵉʳ janvier, au point que les pouvoirs publics s’inquiètent. Une mission sur l’assurabilité des communes a été lancée par l’État. Alain Chrétien, le maire de Vesoul, la copréside. Selon lui, les assureurs se retirent car « ils anticipent une augmentation continue des risques climatiques et des problèmes sociétaux ».
Personne n'a souhaité reprendre le marché. Pour l’instant, la moitié des biens de la ville sont assurés par une compagnie japonaise, mais seulement pour le mois de janvier. Dinan doit donc désormais avoir recours à l’auto-assurance. Une situation qui n’est pas viable financièrement, selon le maire de la ville, Didier Lechien. « Je prends pour exemple l’incendie d’une maison qui a eu lieu en 2019, alors que nous étions encore assurés. Le sinistre se chiffre à plus de 5 millions d’euros », explique-t-il. « Pour une ville de 15 000 habitants, qui n’est pas immensément riche, s’il faut faire face à une telle dépense, vous mettez votre budget par terre », craint le maire.
Environ 2 000 communes touchées
Et il n’est pas le seul dans ce cas. Au total, environ 2 000 communes françaises ne sont plus assurées depuis le 1ᵉʳ janvier, au point que les pouvoirs publics s’inquiètent. Une mission sur l’assurabilité des communes a été lancée par l’État. Alain Chrétien, le maire de Vesoul, la copréside. Selon lui, les assureurs se retirent car « ils anticipent une augmentation continue des risques climatiques et des problèmes sociétaux ».
Dinan, en Bretagne, ses remparts du XIIIe siècle, son fleuve… Le 31 décembre dernier, l’assureur de cette petite commune de l’ouest de la France de 15 000 habitants, a résilié son contrat. Le résultat est que la ville n’est plus assurée contre les atteintes aux biens.
Personne n'a souhaité reprendre le marché. Pour l’instant, la moitié des biens de la ville sont assurés par une compagnie japonaise, mais seulement pour le mois de janvier. Dinan doit donc désormais avoir recours à l’auto-assurance. Une situation qui n’est pas viable financièrement, selon le maire de la ville, Didier Lechien. « Je prends pour exemple l’incendie d’une maison qui a eu lieu en 2019, alors que nous étions encore assurés. Le sinistre se chiffre à plus de 5 millions d’euros », explique-t-il. « Pour une ville de 15 000 habitants, qui n’est pas immensément riche, s’il faut faire face à une telle dépense, vous mettez votre budget par terre », craint le maire.
Et il n’est pas le seul dans ce cas. Au total, environ 2 000 communes françaises ne sont plus assurées depuis le 1ᵉʳ janvier, au point que les pouvoirs publics s’inquiètent. Une mission sur l’assurabilité des communes a été lancée par l’État. Alain Chrétien, le maire de Vesoul, la copréside. Selon lui, les assureurs se retirent car « ils anticipent une augmentation continue des risques climatiques et des problèmes sociétaux ».