Le problème principal que pose l'afflux massif de réfugiés congolais expulsés d'Angola à la frontière est l'hygiène. La plupart des refoulés traversent la frontière de la province du Kasaï, passant notamment par la petite ville de Kamako.
Les réfugiés n'ont ni endroit où dormir, ni sanitaires, ni douches. Les témoignages rapportent l'odeur pestilentielle des excréments dans certains endroits. Il existe donc un risque évident d'épidémie, sans compter la promiscuité qui fait craindre des risques de violences sexuelles aux acteurs sur le terrain.
L'ONG Ajid coordonne un petit centre de santé, où les soins sont gratuits pour les refoulés. Son équipe recense des cas de paludisme, de fièvre typhoïde, des problèmes respiratoires, parfois graves car les expulsés ne se soignaient pas en Angola. Il existe aussi des cas de blessures par balle et des accidentés de la route.
Craintes sécuritaires
Déjà présente sur place dans le cadre d'un autre projet, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) devrait installer des latrines et des douches. Elle distribue déjà des repas froids, avec des conserves et des bouteilles d'eau, aux personnes les plus vulnérables.
Les réfugiés n'ont ni endroit où dormir, ni sanitaires, ni douches. Les témoignages rapportent l'odeur pestilentielle des excréments dans certains endroits. Il existe donc un risque évident d'épidémie, sans compter la promiscuité qui fait craindre des risques de violences sexuelles aux acteurs sur le terrain.
L'ONG Ajid coordonne un petit centre de santé, où les soins sont gratuits pour les refoulés. Son équipe recense des cas de paludisme, de fièvre typhoïde, des problèmes respiratoires, parfois graves car les expulsés ne se soignaient pas en Angola. Il existe aussi des cas de blessures par balle et des accidentés de la route.
Craintes sécuritaires
Déjà présente sur place dans le cadre d'un autre projet, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) devrait installer des latrines et des douches. Elle distribue déjà des repas froids, avec des conserves et des bouteilles d'eau, aux personnes les plus vulnérables.