Réuni à Abidjan du 15 au 19 décembre 2025, l’atelier régional de restitution de l’étude diagnostique du cadre réglementaire du secteur pharmaceutique dans l’espace UEMOA a mis en lumière les avancées réalisées par les États membres, dont le Sénégal. Le pays y a pris part à travers l’Agence sénégalaise de Réglementation pharmaceutique (ARP), engagée dans la dynamique d’harmonisation régionale des normes et pratiques du secteur.
La délégation sénégalaise était conduite par le Dr Ndéye Magatte Diao, chargé du suivi du Plan de développement institutionnel et référent GBT, et M. El Hadji Mamadou Niang, point focal national de l’étude diagnostique. Les travaux ont réuni des experts issus des huit États membres de l’UEMOA, aux côtés du consultant principal, le professeur Antoine Serge Amari, auteur de l’étude.
Cette rencontre régionale a permis de valider les principaux résultats du diagnostic, d’identifier les insuffisances juridiques persistantes au sein des cadres réglementaires nationaux et de définir des plans d’actions budgétisés. L’objectif affiché est de renforcer les systèmes nationaux de réglementation pharmaceutique et de favoriser leur harmonisation à l’échelle communautaire.
Les discussions ont également porté sur les réformes prioritaires à engager pour améliorer la performance des autorités nationales de réglementation et consolider la gouvernance du secteur pharmaceutique, dans un contexte marqué par des enjeux croissants de sécurité sanitaire et d’accès aux médicaments de qualité.
Pour le Sénégal, cette participation s’inscrit dans une logique de consolidation des acquis et de maintien du niveau de maturité 3 (NM3), conformément aux standards internationaux. Elle traduit aussi la volonté des autorités sanitaires de contribuer activement à la convergence réglementaire au sein de l’UEMOA, tout en capitalisant sur les progrès réalisés au plan national.
La délégation sénégalaise était conduite par le Dr Ndéye Magatte Diao, chargé du suivi du Plan de développement institutionnel et référent GBT, et M. El Hadji Mamadou Niang, point focal national de l’étude diagnostique. Les travaux ont réuni des experts issus des huit États membres de l’UEMOA, aux côtés du consultant principal, le professeur Antoine Serge Amari, auteur de l’étude.
Cette rencontre régionale a permis de valider les principaux résultats du diagnostic, d’identifier les insuffisances juridiques persistantes au sein des cadres réglementaires nationaux et de définir des plans d’actions budgétisés. L’objectif affiché est de renforcer les systèmes nationaux de réglementation pharmaceutique et de favoriser leur harmonisation à l’échelle communautaire.
Les discussions ont également porté sur les réformes prioritaires à engager pour améliorer la performance des autorités nationales de réglementation et consolider la gouvernance du secteur pharmaceutique, dans un contexte marqué par des enjeux croissants de sécurité sanitaire et d’accès aux médicaments de qualité.
Pour le Sénégal, cette participation s’inscrit dans une logique de consolidation des acquis et de maintien du niveau de maturité 3 (NM3), conformément aux standards internationaux. Elle traduit aussi la volonté des autorités sanitaires de contribuer activement à la convergence réglementaire au sein de l’UEMOA, tout en capitalisant sur les progrès réalisés au plan national.