L’article 78 du Code électoral qui oblige l’électeur à prendre tous les bulletins des candidats risquent de perturber sérieusement l'emploi du temps des électeurs au vu des 49 listes qui devraient se trouver dans les bureaux de vote le 30 juillet prochain.
C’est dans ce cadre que Moustapha Cissé Lo, pour régler cette situation a émis le souhait de voir l’Assemblée nationale légiférer afin de permettre à l’électeur de ne prendre que quelques bulletins. Mais, de l’avis de Moundiaye Cissé, même si l’idée est pertinente, il ne faut pas se précipiter avant d’avoir régler certains préalables.
En effet, la retouche du Code est interdite par une disposition de la Cedeao qui défend aux états d’y opérer des changements à moins de six (6) mois de la tenue d’élection, à moins qu’il y ait consensus. C’est dans ce sens que le président de l’Ong 3D recommande la prudence et le dialogue pour ne pas être sanctionné par l’organisme sous régional.
Et d’un autre côté, déclare M. Cissé, il serait mal perçu qu’un projet de loi soit présenté à l’hémicycle à moins de deux mois de la fin de la 12ième Législature.
Mais dans tous les cas, relève-t-il, avant toute décision, l’Etat gagnerait à enrôler tous les acteurs dans ce projet; ce qui pourrait éviter les fortes abstentions.
C’est dans ce cadre que Moustapha Cissé Lo, pour régler cette situation a émis le souhait de voir l’Assemblée nationale légiférer afin de permettre à l’électeur de ne prendre que quelques bulletins. Mais, de l’avis de Moundiaye Cissé, même si l’idée est pertinente, il ne faut pas se précipiter avant d’avoir régler certains préalables.
En effet, la retouche du Code est interdite par une disposition de la Cedeao qui défend aux états d’y opérer des changements à moins de six (6) mois de la tenue d’élection, à moins qu’il y ait consensus. C’est dans ce sens que le président de l’Ong 3D recommande la prudence et le dialogue pour ne pas être sanctionné par l’organisme sous régional.
Et d’un autre côté, déclare M. Cissé, il serait mal perçu qu’un projet de loi soit présenté à l’hémicycle à moins de deux mois de la fin de la 12ième Législature.
Mais dans tous les cas, relève-t-il, avant toute décision, l’Etat gagnerait à enrôler tous les acteurs dans ce projet; ce qui pourrait éviter les fortes abstentions.