Visant selon le Premier ministre, Aminata Touré à mobiliser tous les partenaires pour accélérer le financement de 16 projets d’infrastructures régionaux dans le cadre du Programme de développement des infrastructures en Afrique, la réunion préparatoire du sommet du Nouveau Partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD) sur le financement des infrastructures s’est ouverte ce matin au King Fahd Palace. Un rendez-vous qui regroupe pas moins d’une centaine d’experts et de représentants de gouvernements des pays africains. Bien présent, le ministre des Infrastructures, Transports routiers et du Désenclavement, Thierno Alassane Sall participe aux panels. Mais en attendant le sommet des Chefs d’Etats prévu demain dimanche qui sera présidé par le président en exercice du NEPAD, Macky Sall, ce samedi, c’est le Premier ministre qui a ouvert la réunion préparatoire. Occasion qu’Aminata Touré n’a pas manqué pour assurer :
« Aujourd’hui, le déficit d’investissements en infrastructure freine la croissance économique sur le continent à hauteur 2, 2% de croissance chaque année ». Ce qui nécessite que « des dépenses soutenues en capital soient effectuées autour de 45 milliards de dollars US ». Pour la cheffe du gouvernement : « l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement(OMD) imposera non seulement une résorption du déficit d’infrastructures, mais aussi l’adoption de mesures vigoureuses visant à offrir les conditions nécessaires à la croissance à long terme ». A travers, ce sommet de Dakar, «le défi consiste pour nous à mobiliser de nouveaux investissements, notamment dans le secteur du transport, de l’énergie électrique et des routes à trafic moyen ou faible qui, traditionnellement, sont réputés difficiles à financer ».
« Aujourd’hui, le déficit d’investissements en infrastructure freine la croissance économique sur le continent à hauteur 2, 2% de croissance chaque année ». Ce qui nécessite que « des dépenses soutenues en capital soient effectuées autour de 45 milliards de dollars US ». Pour la cheffe du gouvernement : « l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement(OMD) imposera non seulement une résorption du déficit d’infrastructures, mais aussi l’adoption de mesures vigoureuses visant à offrir les conditions nécessaires à la croissance à long terme ». A travers, ce sommet de Dakar, «le défi consiste pour nous à mobiliser de nouveaux investissements, notamment dans le secteur du transport, de l’énergie électrique et des routes à trafic moyen ou faible qui, traditionnellement, sont réputés difficiles à financer ».