Les 10 et 11 mai derniers, le Syndicat autonome des Médecins pharmaciens, chirurgiens dentistes (SAMES) a tenu sa réunion semestrielle du comité exécutif à Kaolack (centre). Cette rencontre a été l'occasion pour les membres, sous la direction du Dr Mamadou Demba Ndour, de réaffirmer avec fermeté leurs revendications auprès de l'État.
Parmi les points soulevés dans leur cahier de revendications, il y a le manque de progrès dans les discussions avec l'État depuis le dépôt du préavis de grève datant du 20 décembre 2023. Les médecins de différentes spécialités exigent ainsi « la reprise immédiate des négociations en vue d'établir un protocole d'accord satisfaisant pour les deux parties. »
L'une des principales demandes concerne « l'amélioration des conditions salariales des médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes, dont les indemnités sont parmi les plus basses de la hiérarchie A spéciale. » Ils réclament également une meilleure prise en charge de la retraite, avec un minimum de 80 % du dernier salaire, rapporte Sud Quotidien.
Le SAMES a insisté également sur la nécessité de recruter du personnel qualifié dans les hôpitaux afin d'assurer une accessibilité accrue aux soins de qualité pour la population. Par ailleurs, les médecins expriment leur soutien aux collègues du Samu et de la structure Roi Baudouin, tout en demandant au ministère de la Santé et de l'Action sociale de prendre des mesures adéquates pour résoudre les problèmes rencontrés.
Ils ont souligné « l'impact négatif des grèves sur la coordination des urgences pré-hospitalières au Samu et sur la continuité des activités médicales dans les hôpitaux, notamment dans la banlieue. »
Parmi les points soulevés dans leur cahier de revendications, il y a le manque de progrès dans les discussions avec l'État depuis le dépôt du préavis de grève datant du 20 décembre 2023. Les médecins de différentes spécialités exigent ainsi « la reprise immédiate des négociations en vue d'établir un protocole d'accord satisfaisant pour les deux parties. »
L'une des principales demandes concerne « l'amélioration des conditions salariales des médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes, dont les indemnités sont parmi les plus basses de la hiérarchie A spéciale. » Ils réclament également une meilleure prise en charge de la retraite, avec un minimum de 80 % du dernier salaire, rapporte Sud Quotidien.
Le SAMES a insisté également sur la nécessité de recruter du personnel qualifié dans les hôpitaux afin d'assurer une accessibilité accrue aux soins de qualité pour la population. Par ailleurs, les médecins expriment leur soutien aux collègues du Samu et de la structure Roi Baudouin, tout en demandant au ministère de la Santé et de l'Action sociale de prendre des mesures adéquates pour résoudre les problèmes rencontrés.
Ils ont souligné « l'impact négatif des grèves sur la coordination des urgences pré-hospitalières au Samu et sur la continuité des activités médicales dans les hôpitaux, notamment dans la banlieue. »