La fuite. C’est comme cela que l’on peut qualifier l’acte du pilote de l’avion de la compagnie équato-guinéenne Ceiba, après son abordage avec le bimoteur de Sénégal Air. En effet, le pilote, nonobstant les règles qui voudraient que l’appareil se pose dans l’aéroport le plus proche en cas d’incident, a pris la décision de continuer sa route jusqu’en Guinée Equatoriale, faisant fi de la sécurité des passagers.
Mais cette fuite n’est pas fortuite. En effet, une source qui s’est entretenu avec l’observateur, révèle que «le pilote de l’avion savait très bien que l’appareil allait être saisi par l’Organisation de l’aviation civile internationale (Oaci), suite à cet incident, pour les besoins de l’enquête. Mais, il veut protéger le bien. Raison pour laquelle, il a continué sur Malabo, au lieu de Cotonou. Parce que Cotonou serait un terrain neutre et l’Oaci peut y saisir l’avion sans difficultés. Ce qui est difficile quand l’appareil est dans son pays d’immatriculation».
Mais cette fuite n’est pas fortuite. En effet, une source qui s’est entretenu avec l’observateur, révèle que «le pilote de l’avion savait très bien que l’appareil allait être saisi par l’Organisation de l’aviation civile internationale (Oaci), suite à cet incident, pour les besoins de l’enquête. Mais, il veut protéger le bien. Raison pour laquelle, il a continué sur Malabo, au lieu de Cotonou. Parce que Cotonou serait un terrain neutre et l’Oaci peut y saisir l’avion sans difficultés. Ce qui est difficile quand l’appareil est dans son pays d’immatriculation».