
Cumulés, les budgets de ces deux sociétés font le double de l’argent alloué à la Santé publique et à l’Agriculture. Une situation désormais « impossible », fulmine Macky Sall qui estime qu’ « il nous faut restructurer et que l’entreprise fasse des efforts » car dit-il, « elle ne peut plus continuer à évoluer comme l’entreprise le faisait dans le passé et ne pas se remettre en cause ».
Ce 1er mai, à l’occasion de la remise des cahiers de doléances à la présidence, Macky Sall qui a précisé que la Société Africaine de Raffinage (SAR) seulement coûte à l’Etat du Sénégal 40 milliards par an, juge que « cela ne peut plus continuer ».
« Avec cet argent, nous aurions pu créer des emplois pour les jeunes ou même subventionner les denrées alimentaires où nous avons fait une subvention moins importante mais lourde pour nos efforts », suggère-t-il. Autant de ressources mis dans la SAR et qui imposent d’après le chef de l’Etat, un regard sur la gestion dans les détails. « Tout ce qui sera contraire à une évolution sera supprimé », a-t-il averti.
Ce 1er mai, à l’occasion de la remise des cahiers de doléances à la présidence, Macky Sall qui a précisé que la Société Africaine de Raffinage (SAR) seulement coûte à l’Etat du Sénégal 40 milliards par an, juge que « cela ne peut plus continuer ».
« Avec cet argent, nous aurions pu créer des emplois pour les jeunes ou même subventionner les denrées alimentaires où nous avons fait une subvention moins importante mais lourde pour nos efforts », suggère-t-il. Autant de ressources mis dans la SAR et qui imposent d’après le chef de l’Etat, un regard sur la gestion dans les détails. « Tout ce qui sera contraire à une évolution sera supprimé », a-t-il averti.