Le député Guy Marius Sagna a accusé le groupe français SUEZ de « persécuter » des travailleurs sénégalais au sein de la SEN’EAU, dénonçant des pratiques qu’il qualifie d’antisyndicales. Dans une déclaration rendue publique, le parlementaire affirme que l’entreprise mènerait une « chasse aux syndicalistes et aux représentants du personnel ».
Selon le député, SUEZ aurait organisé un vote numérique pour le renouvellement du mandat des délégués du personnel, une procédure qu’il juge contraire au Code du travail sénégalais. Il affirme également que cette démarche irait à l’encontre de la position de la Direction générale du travail et de la sécurité sociale. Guy Marius Sagna reproche par ailleurs à SUEZ « de refuser la représentation des travailleurs au Conseil d’administration de la SEN’EAU, estimant que cette position porte atteinte aux droits des salariés et aux principes de gouvernance participative. »
Autre point de tension soulevé par le député : la situation du Secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs des Eaux du Sénégal (SATES). Il affirme que « ce dernier ferait l’objet d’une procédure de licenciement qu’il qualifie d’arbitraire et qu’il interprète comme une tentative de neutralisation de toute opposition syndicale. »
Le parlementaire indique s’être rendu à la Confédération des syndicats autonomes du Sénégal (CSA) afin de recueillir des éléments sur le conflit social. Il annonce également son intention de saisir le gouvernement dans les prochaines heures pour demander des explications sur ce qu’il considère comme une atteinte aux droits syndicaux au sein de la SEN’EAU.
Selon le député, SUEZ aurait organisé un vote numérique pour le renouvellement du mandat des délégués du personnel, une procédure qu’il juge contraire au Code du travail sénégalais. Il affirme également que cette démarche irait à l’encontre de la position de la Direction générale du travail et de la sécurité sociale. Guy Marius Sagna reproche par ailleurs à SUEZ « de refuser la représentation des travailleurs au Conseil d’administration de la SEN’EAU, estimant que cette position porte atteinte aux droits des salariés et aux principes de gouvernance participative. »
Autre point de tension soulevé par le député : la situation du Secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs des Eaux du Sénégal (SATES). Il affirme que « ce dernier ferait l’objet d’une procédure de licenciement qu’il qualifie d’arbitraire et qu’il interprète comme une tentative de neutralisation de toute opposition syndicale. »
Le parlementaire indique s’être rendu à la Confédération des syndicats autonomes du Sénégal (CSA) afin de recueillir des éléments sur le conflit social. Il annonce également son intention de saisir le gouvernement dans les prochaines heures pour demander des explications sur ce qu’il considère comme une atteinte aux droits syndicaux au sein de la SEN’EAU.