Désormais, Lamine Dianté est le secrétaire général du Saemss, remplaçant Mbaye Fall Lèye. Représentant le Saemss au conseil économique et social, Mbaye Fall Lèye est parti de son propre gré suivant les règles régissant le code de ce syndicat qu’il a mis sur pied. La précision est faite par le nouveau secrétaire général qui soutient que « le jour du congrès tout le monde a montré son satisfecit pour le travail abattu par l’ex secrétaire général mais ce dernier devrait partir suivant les textes et c'est ce qu’il a fait ».
Par ailleurs, ce syndicat s’est défait de cinq de ses membres qui ont voulu à un moment organiser une fronde en leur sein. En effet, cette attitude est consécutive à la proposition de l’Etat de donner un siège à chaque organisation sociale. En bureau, comme à leur habitude, souligne-t-on, une majorité est pour l’acceptation de ce siège. Une minorité est contre la décision et sème la zizanie en « posant des actes attentatoires »selon le nouveau Sg. Il s’agit d’Issaga Diallo, Demba Mbodji, Abdoulaye Ndoye, Birahim Fall et enfin Khady Ndiaye. « Suivant les textes, ces gens ont été d’abord temporairement exclus ensuite définitivement » informe M. Dianté. Il précise cependant que « cette exclusion n’est nullement une entrave à la liberté d’expression, il se trouve juste que nul n’a le droit au sein de notre syndicat de régler des problèmes internes en dehors de nos instances ». Et c’est ce qu’Issaga Diallo et Cie ont fait. Donc, « ils se sont auto exclus » suivant M. Dianté.
En outre, convaincus que « la place de l’enseignant est dans les classes avec éponge et craie à la main », les membres du Saemss ne sont pas partis en grève depuis 2007. C’est après la signature de quelques accords avec leur autorité de tutelle que ses enseignants ont décidé d’attendre et d’observer. Depuis, quelques unes de leurs revendications sont prises en compte, d’autres non. Trois ans suffisent largement. Le Saemss menace et met en garde l’Etat. « Si rien n’est fait d’ici octobre nous nous ferons entendre », disent-ils. Autant quelques points comme les indemnités de recherche et de documentation ont été satisfaits, autant des points comme la formation diplomante ou encore la promotion interne des enseignants ne sont toujours pas prises en compte.
Par ailleurs, ce syndicat s’est défait de cinq de ses membres qui ont voulu à un moment organiser une fronde en leur sein. En effet, cette attitude est consécutive à la proposition de l’Etat de donner un siège à chaque organisation sociale. En bureau, comme à leur habitude, souligne-t-on, une majorité est pour l’acceptation de ce siège. Une minorité est contre la décision et sème la zizanie en « posant des actes attentatoires »selon le nouveau Sg. Il s’agit d’Issaga Diallo, Demba Mbodji, Abdoulaye Ndoye, Birahim Fall et enfin Khady Ndiaye. « Suivant les textes, ces gens ont été d’abord temporairement exclus ensuite définitivement » informe M. Dianté. Il précise cependant que « cette exclusion n’est nullement une entrave à la liberté d’expression, il se trouve juste que nul n’a le droit au sein de notre syndicat de régler des problèmes internes en dehors de nos instances ». Et c’est ce qu’Issaga Diallo et Cie ont fait. Donc, « ils se sont auto exclus » suivant M. Dianté.
En outre, convaincus que « la place de l’enseignant est dans les classes avec éponge et craie à la main », les membres du Saemss ne sont pas partis en grève depuis 2007. C’est après la signature de quelques accords avec leur autorité de tutelle que ses enseignants ont décidé d’attendre et d’observer. Depuis, quelques unes de leurs revendications sont prises en compte, d’autres non. Trois ans suffisent largement. Le Saemss menace et met en garde l’Etat. « Si rien n’est fait d’ici octobre nous nous ferons entendre », disent-ils. Autant quelques points comme les indemnités de recherche et de documentation ont été satisfaits, autant des points comme la formation diplomante ou encore la promotion interne des enseignants ne sont toujours pas prises en compte.