Le Comité national de gestion (CNG) de lutte impose de nouvelles règles pour la saison 2016-2017. Sur le pied de guerre pour mettre fin au désordre qui règne dans l’arène, Dr Alioune Sarr et son équipe ont décidé de mettre en place des réformes pour cette saison. Il s’agit entre autres de l’encombrement de l’enceinte, de la sortie délibérée, de l’obtention de la licence, de la remise des blocs de tickets, de la limite d’âge, de la limitation des face-à-face, des fausses déclarations sur les cachets, des galas de lutte et Cie. Son mandat prolongé de deux (2) ans à la tête du CNG, Dr Alioune Sarr l’a indiqué hier lors de la cérémonie d’installation des fédérations.
Dorénavant pour accéder à l’enceinte et à la main courante, toute personne devra être munie d’un élément d’identification. «Nous avons une mission de faire en sorte que la lutte sénégalaise dépasse nos frontières dans sa plus belle expression. Il est inadmissible après un combat, que les gens nous maudissent. Il faudrait que la peur change de camp. Nous avons les moyens, il suffit de prendre des mesures», lance-t-il.
Les promoteurs ont obligation de déposer 72 heures avant les galas, leur chronogramme pour permettre de mieux gérer les compétitions. Par rapport à la mutuelle de santé qui est au point mort depuis quelques temps, le Comité national va se rapprocher de la Mutuelle de santé universelle et essayer de trouver une solution à cela. Toujours dans l’optique de la réorganisation, le CNG envisage de sévir contre les promoteurs qui, en guise de compensation financière, remettent des blocs de tickets à certains lutteurs sur certains combats qu’ils appellent de petits combats. Des sanctions sévères seront prises à l’encontre de ceux qui agiront de cette façon, rapporte «l’As».
Pour la sortie délibérée, Alioune Sarr affirme qu’elle n’existe plus depuis deux (2) ans. Malgré tout, il indique que «tout lutteur qui quitte l’enceinte est sanctionné. Toute sortie est sanctionnée». Pour la chorégraphie communément appelée «Touss», elle se fera 15 mn après l’heure de convocation d’un lutteur. Passé ce délai, avertit M. Sarr, le fameux touss sera annulé, soulignent nos confrères.
Dorénavant pour accéder à l’enceinte et à la main courante, toute personne devra être munie d’un élément d’identification. «Nous avons une mission de faire en sorte que la lutte sénégalaise dépasse nos frontières dans sa plus belle expression. Il est inadmissible après un combat, que les gens nous maudissent. Il faudrait que la peur change de camp. Nous avons les moyens, il suffit de prendre des mesures», lance-t-il.
Les promoteurs ont obligation de déposer 72 heures avant les galas, leur chronogramme pour permettre de mieux gérer les compétitions. Par rapport à la mutuelle de santé qui est au point mort depuis quelques temps, le Comité national va se rapprocher de la Mutuelle de santé universelle et essayer de trouver une solution à cela. Toujours dans l’optique de la réorganisation, le CNG envisage de sévir contre les promoteurs qui, en guise de compensation financière, remettent des blocs de tickets à certains lutteurs sur certains combats qu’ils appellent de petits combats. Des sanctions sévères seront prises à l’encontre de ceux qui agiront de cette façon, rapporte «l’As».
Pour la sortie délibérée, Alioune Sarr affirme qu’elle n’existe plus depuis deux (2) ans. Malgré tout, il indique que «tout lutteur qui quitte l’enceinte est sanctionné. Toute sortie est sanctionnée». Pour la chorégraphie communément appelée «Touss», elle se fera 15 mn après l’heure de convocation d’un lutteur. Passé ce délai, avertit M. Sarr, le fameux touss sera annulé, soulignent nos confrères.