Samuel Sarr est convoqué en fin juillet par la commission d'enquête chargé de faire la lumière sur les crimes financiers de l'ancien président gambien, Yaya Jammeh.
Selon "Libération", l’audition va porter sur deux points : le contrat de pétrole entre la Gambie et le Nigéria dont il a été le facilitateur et un autre contrat de vente d’électricité dénommé Gampower. Ces contrats datent de 1996, renseigne la même source.
Cette dernière d'ajouter que, l'ancien Directeur général de Nawec, Mustapha Corr, avait été interrogé par la commission qui «voulait coûte que coûte savoir si Samuel Sarr était actionnaire dans Gampower, le producteur privé qui vendait l'électricité à la Gambie».
Corr, avait affirmé que dans tous les cas, le contrat a été résilié pour ce qu’il savait tout en impliquant deux hommes d'affaires libanais qui, informe le journal, « sont aujourd'hui proches des cercles intimes de Barrow". Il s’agit de Mohamed Bazzi, fiché par les Etats-Unis comme un financier du Hezbollah, et Tony Ghattas.
Au stade actuel de ses investigations, la commission d'enquête a établi que ces trois dernières années, Jammeh avait volé quelques 147 millions de dollars, chiffre la source.
Selon "Libération", l’audition va porter sur deux points : le contrat de pétrole entre la Gambie et le Nigéria dont il a été le facilitateur et un autre contrat de vente d’électricité dénommé Gampower. Ces contrats datent de 1996, renseigne la même source.
Cette dernière d'ajouter que, l'ancien Directeur général de Nawec, Mustapha Corr, avait été interrogé par la commission qui «voulait coûte que coûte savoir si Samuel Sarr était actionnaire dans Gampower, le producteur privé qui vendait l'électricité à la Gambie».
Corr, avait affirmé que dans tous les cas, le contrat a été résilié pour ce qu’il savait tout en impliquant deux hommes d'affaires libanais qui, informe le journal, « sont aujourd'hui proches des cercles intimes de Barrow". Il s’agit de Mohamed Bazzi, fiché par les Etats-Unis comme un financier du Hezbollah, et Tony Ghattas.
Au stade actuel de ses investigations, la commission d'enquête a établi que ces trois dernières années, Jammeh avait volé quelques 147 millions de dollars, chiffre la source.