Le maire de Mermoz - Sacré Cœur annonce sa candidature au poste de Secrétaire Général du Parti Socialiste (PS). Barthélémy Dias qui déclare la guerre à Ousmane Tanor Dieng, soutient qu’il « n’a ni le devoir, ni la responsabilité d’accepter ce socialisme de caverne que leur impose l’actuelle Direction du parti ».
« Nous devons militer pour un socialiste de principe, de valeurs, d’avenir, d’ambition et de conviction. C’est ce qui motive aujourd’hui, ma décision d’être candidat au poste de Secrétaire général du PS. Nous avons choisi de militer dans un parti qui, comme le stipule la Constitution du Sénégal, a pour mission de conquérir le suffrage des Sénégalais. Nous n’avons jamais choisi de militer dans un mouvement de soutien, dans un Groupement d’Intérêts Economiques (GIE) », explique-t-il au téléphone de la Rfm.
Le fervent défenseur de Khalifa Sall de marteler : « Cette candidature aujourd’hui, est une candidature que nous considérons comme étant une candidature logique. Nous sommes des fervents croyants de la candidature à l’élection présidentielle 2019. Et, nous n’avons aucun complexe ni aucune gêne de dire que nous nourrissons une ambition pour le pays qui nous a vu naître et grandir ». « Le dernier mot reviendra au peuple sénégalais… », clôt-il.
Ça promet.
« Nous devons militer pour un socialiste de principe, de valeurs, d’avenir, d’ambition et de conviction. C’est ce qui motive aujourd’hui, ma décision d’être candidat au poste de Secrétaire général du PS. Nous avons choisi de militer dans un parti qui, comme le stipule la Constitution du Sénégal, a pour mission de conquérir le suffrage des Sénégalais. Nous n’avons jamais choisi de militer dans un mouvement de soutien, dans un Groupement d’Intérêts Economiques (GIE) », explique-t-il au téléphone de la Rfm.
Le fervent défenseur de Khalifa Sall de marteler : « Cette candidature aujourd’hui, est une candidature que nous considérons comme étant une candidature logique. Nous sommes des fervents croyants de la candidature à l’élection présidentielle 2019. Et, nous n’avons aucun complexe ni aucune gêne de dire que nous nourrissons une ambition pour le pays qui nous a vu naître et grandir ». « Le dernier mot reviendra au peuple sénégalais… », clôt-il.
Ça promet.