Selon l’échéancier initial, ce cadre devait être lancé dans les trois mois suivant la signature de l’accord de paix, soit au plus tard le 27 septembre 2025.
Kinshasa et Kigali disent vouloir en finir avec les activités illicites liées aux ressources minières. Extraction, commerce, transport ou transformation… les deux pays s’engagent à assainir progressivement tout le secteur.
Un exemple : au moment de son arrivée à la tête du Sud-Kivu, le gouverneur Jean-Jacques Purusi déclarait devant la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française qu’au moins 1 600 entreprises exploitaient illégalement les ressources minières dans sa province.
Approvisionnement constant et transparent
Aujourd’hui, sous l’égide des États-Unis, la RDC et le Rwanda affirment leur volonté d’agir, chacun dans son pays, mais aussi en collaboration, pour garantir un approvisionnement constant et transparent en minerais vers les marchés internationaux. L'objectif est de bâtir un secteur minier industriel de classe mondiale, de la mine à l’utilisateur final.
Autre engagement : formaliser l’exploitation artisanale et à petite échelle, afin d’attirer les plus grandes entreprises minières du monde. Et Washington positionne déjà ses entreprises.
Le texte paraphé vendredi n’est pas encore un accord. Cet énoncé de principes fixe les grandes lignes de la coopération économique. Kinshasa et Kigali comptent finaliser ce cadre régional par un accord distinct, qui précisera les mécanismes de coordination, les plans d’action et les initiatives à mettre en œuvre.
Kinshasa et Kigali disent vouloir en finir avec les activités illicites liées aux ressources minières. Extraction, commerce, transport ou transformation… les deux pays s’engagent à assainir progressivement tout le secteur.
Un exemple : au moment de son arrivée à la tête du Sud-Kivu, le gouverneur Jean-Jacques Purusi déclarait devant la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française qu’au moins 1 600 entreprises exploitaient illégalement les ressources minières dans sa province.
Approvisionnement constant et transparent
Aujourd’hui, sous l’égide des États-Unis, la RDC et le Rwanda affirment leur volonté d’agir, chacun dans son pays, mais aussi en collaboration, pour garantir un approvisionnement constant et transparent en minerais vers les marchés internationaux. L'objectif est de bâtir un secteur minier industriel de classe mondiale, de la mine à l’utilisateur final.
Autre engagement : formaliser l’exploitation artisanale et à petite échelle, afin d’attirer les plus grandes entreprises minières du monde. Et Washington positionne déjà ses entreprises.
Le texte paraphé vendredi n’est pas encore un accord. Cet énoncé de principes fixe les grandes lignes de la coopération économique. Kinshasa et Kigali comptent finaliser ce cadre régional par un accord distinct, qui précisera les mécanismes de coordination, les plans d’action et les initiatives à mettre en œuvre.