Le gouvernement sénégalais fait face à une autre polémique dans le secteur pétrolier. Cette fois-ci, il ne s’agit pas de membres de l’opposition qui exigent des comptes, mais d’Africa petrolium, qui a saisi via son conseiller juridique le gouvernement sénégalais sur l’appel d’offre lancé par Petrosen.
En effet, cette guéguerre concernant le bloc Sénégal Offshore Sud profond intervient à la suite de l’appel d’offre lancé Petrosen. Ce bloc est actuellement en arbitrage devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (Cirdi).
Le 04 octobre, le gouvernement sénégalais a lancé une procédure de recherche de manifestations d’intérêt. Ainsi que la société African petrolium, qui contrôle le bloc s’est dite surprise par cette procédure d’opération de la part de l’Etat.
En plus de rappeler au gouvernement que le bloc fait actuellement l’objet d’une procédure d’arbitrage, la société fait savoir qu’elle détient une participation directe exploitée à 90% dans le bloc pendant que Petrosen ne détient que les 10% restants.
« Le contrat de partage de production du bloc ne peut être résilié tant que le différend n’aura pas été résolu, soit à l’amiable, soit par la voie d’arbitrage. African petrolium restera sur la licence et nous continuerons à défendre rigoureusement notre position dans le processus d’arbitrage en cours », a indiqué le PDG de ladite société.
En effet, cette guéguerre concernant le bloc Sénégal Offshore Sud profond intervient à la suite de l’appel d’offre lancé Petrosen. Ce bloc est actuellement en arbitrage devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (Cirdi).
Le 04 octobre, le gouvernement sénégalais a lancé une procédure de recherche de manifestations d’intérêt. Ainsi que la société African petrolium, qui contrôle le bloc s’est dite surprise par cette procédure d’opération de la part de l’Etat.
En plus de rappeler au gouvernement que le bloc fait actuellement l’objet d’une procédure d’arbitrage, la société fait savoir qu’elle détient une participation directe exploitée à 90% dans le bloc pendant que Petrosen ne détient que les 10% restants.
« Le contrat de partage de production du bloc ne peut être résilié tant que le différend n’aura pas été résolu, soit à l’amiable, soit par la voie d’arbitrage. African petrolium restera sur la licence et nous continuerons à défendre rigoureusement notre position dans le processus d’arbitrage en cours », a indiqué le PDG de ladite société.