L’installation du Cadre de Concertation des acteurs du secteur postal, d’après les dires d’Isaac Sissoko le secrétaire général du ministère de l’Economie Numérique et des Télécommunications (MENT) est événement qui « pose les jalons de la modernisation du secteur dans un monde marqué par l’évolution fulgurante du numérique ». Ce programme s’inscrit dans le projet « Sénégal numérique 2025 » contenu dans les orientations fixées par le PSE (plan Sénégal émergent). Selon M. Sissoko, elle incarne l’ambition du Sénégal de maintenir une position de pays leader innovant en Afrique dans le domaine du numérique.
En effet, les postes ont connu toute une série de réformes structurelles dans le sillage de diverses évolutions culturelles, économiques, politiques et technologiques, en particulier au cours des dernières années, du fait de l’accélération du changement et d’Internet. L’impact d’Internet et ses différentes applications constituent la dernière « secousse» en date vécue par le secteur postal. En effet, les postes ne détenaient pas l’exclusivité pour certains envois, par exemple les colis, dont le transport et la livraison pouvaient être effectués par des entreprises privées.
« Outre les problèmes suscités par la complexité croissante de l’univers postal, certains segments de son marché sont pris d’assaut par les opérateurs privés, attirés par le potentiel économique de certains débouchés commerciaux et stimulés par des modèles de plus en plus avantageux pour l’entreprise privée », a déploré Ndeye Coumba Niass la directrice des postes au niveau du ministère de l’Économie Numériques et des Télécommunications.
L’apport du Cadre de Concertation des acteurs du secteur postal
Selon Isaac Sissoko, l’intégration du numérique dans tous les projets permettra au Sénégal de répondre aux multiples besoins des populations. « Les activités postales comptent une population active d’environ six mille (6 000) personnes, il faut ajouter à cela non seulement les emplois indirects, les transports, l’imprimerie, mais également les activités sous-jacentes telles que la livraison et le commerce électronique », a expliqué le secrétaire général du ministère de l'Économie et des Télécommunications.
Toutefois, de nombreuses contraintes freinent encore le développement optimal du secteur postal. À savoir « l’inexistence d’un système d’adressage national unique, la faiblesse des investissements publics et privés, un cadre juridique non adapté à l’évolution rapide du secteur, la faiblesse de l’interopérabilité, la concurrence déloyale et la faiblesse de la disponibilité des données du secteur », a dénoncé madame Niass .
D’où la conviction d’Isaac Sissoko que « la mise en place de ce cadre de concertation qui constitue une étape importante dans la stratégie de modernisation et de redynamisation du secteur et a donc toute sa place dans notre architecture organisationnelle. Il permettra de traiter des différentes problématiques du secteur postal, de proposer des recommandations et de nouer des partenariats actifs et collaboratifs entre les acteurs. Ce, en collaboration avec l’autorité de régulation et de tous les acteurs du secteur.
En effet, les postes ont connu toute une série de réformes structurelles dans le sillage de diverses évolutions culturelles, économiques, politiques et technologiques, en particulier au cours des dernières années, du fait de l’accélération du changement et d’Internet. L’impact d’Internet et ses différentes applications constituent la dernière « secousse» en date vécue par le secteur postal. En effet, les postes ne détenaient pas l’exclusivité pour certains envois, par exemple les colis, dont le transport et la livraison pouvaient être effectués par des entreprises privées.
« Outre les problèmes suscités par la complexité croissante de l’univers postal, certains segments de son marché sont pris d’assaut par les opérateurs privés, attirés par le potentiel économique de certains débouchés commerciaux et stimulés par des modèles de plus en plus avantageux pour l’entreprise privée », a déploré Ndeye Coumba Niass la directrice des postes au niveau du ministère de l’Économie Numériques et des Télécommunications.
L’apport du Cadre de Concertation des acteurs du secteur postal
Selon Isaac Sissoko, l’intégration du numérique dans tous les projets permettra au Sénégal de répondre aux multiples besoins des populations. « Les activités postales comptent une population active d’environ six mille (6 000) personnes, il faut ajouter à cela non seulement les emplois indirects, les transports, l’imprimerie, mais également les activités sous-jacentes telles que la livraison et le commerce électronique », a expliqué le secrétaire général du ministère de l'Économie et des Télécommunications.
Toutefois, de nombreuses contraintes freinent encore le développement optimal du secteur postal. À savoir « l’inexistence d’un système d’adressage national unique, la faiblesse des investissements publics et privés, un cadre juridique non adapté à l’évolution rapide du secteur, la faiblesse de l’interopérabilité, la concurrence déloyale et la faiblesse de la disponibilité des données du secteur », a dénoncé madame Niass .
D’où la conviction d’Isaac Sissoko que « la mise en place de ce cadre de concertation qui constitue une étape importante dans la stratégie de modernisation et de redynamisation du secteur et a donc toute sa place dans notre architecture organisationnelle. Il permettra de traiter des différentes problématiques du secteur postal, de proposer des recommandations et de nouer des partenariats actifs et collaboratifs entre les acteurs. Ce, en collaboration avec l’autorité de régulation et de tous les acteurs du secteur.