«D’abord l’on s’est rendu compte qu’au niveau des axes transfrontaliers de façon général, il y a d’énormes difficultés. Parce qu’il y a un manque de routes, il n’y a pas d’infrastructures. De manière générale, l’Etat n’était pas présent». Ces propos sont d’Abdoulaye Daouda Diallo qui se prononçait sur les nouvelles mesures prises pour assurer la sécurité des Sénégalais.
Cette sécurité passe nécessairement par la mise en œuvre de nouveaux mécanismes de défense. Et, de l’avis de M. Diallo, c’est ce qui a justifié «la mise en place du nouveau programme du chef de l’Etat avec la nomination récemment d’un coordonnateur».
En plus de cela, indique le premier flic du pays, «il faut assurer une présence beaucoup plus accrue, en termes d’infrastructures de base (écoles, structures sanitaires…), mais aussi la présence de la sécurité. Je veux parler de la gendarmerie police, et par moment même de l’armée avec les cantonnements».
Cette sécurité passe nécessairement par la mise en œuvre de nouveaux mécanismes de défense. Et, de l’avis de M. Diallo, c’est ce qui a justifié «la mise en place du nouveau programme du chef de l’Etat avec la nomination récemment d’un coordonnateur».
En plus de cela, indique le premier flic du pays, «il faut assurer une présence beaucoup plus accrue, en termes d’infrastructures de base (écoles, structures sanitaires…), mais aussi la présence de la sécurité. Je veux parler de la gendarmerie police, et par moment même de l’armée avec les cantonnements».