« Nous avons collecté tous ces dons, ce sont surtout des couvertures neuves, environ 500,600 couvertures », explique Mohanad Akram.
Nous sommes dans l’un des quatre locaux où le pédiatre irakien, très investi dans l’humanitaire, entrepose les dons collectés pour venir en aide à la population syrienne touchée par les tremblements de terre.
La pièce est remplie du sol au plafond, et tout est parti d’un appel lancé sur les réseaux sociaux. « J’ai dit que nous ne prenions que des couvertures, raconte le médecin, mais les gens sont arrivés avec des cartons de nourriture, donc j’ai dit ok, on prend. Puis, j’ai ouvert à tout type de dons. »
L'importance des réseaux
Un commerçant syrien de la ville lui a apporté 200 cartons contenant de la nourriture, des vêtements chauds, mais aussi des jouets. « Il a pensé que quand l’enfant verra le jouet, il sera très heureux et pensera à autre chose qu’à sa peur, se souvient Mohanad Akram. Ils savent ce qui est nécessaire, ils ont eu besoin de cette aide par le passé. »
Son ami Ali Estefo, originaire de Syrie, prête lui aussi sa maison pour stocker les montagnes de dons. « Ça m’a rendu très heureux que beaucoup de gens fasse un geste, dit ce volontaire syrien. C’était au-delà de nos espérances. »
Pour sécuriser le transport vers Alep, Idleb et Lattaquié, ils s’appuient sur leurs propres réseaux. Ali s’y rendra d’ailleurs lui-même pour aider à la distribution.
Nous sommes dans l’un des quatre locaux où le pédiatre irakien, très investi dans l’humanitaire, entrepose les dons collectés pour venir en aide à la population syrienne touchée par les tremblements de terre.
La pièce est remplie du sol au plafond, et tout est parti d’un appel lancé sur les réseaux sociaux. « J’ai dit que nous ne prenions que des couvertures, raconte le médecin, mais les gens sont arrivés avec des cartons de nourriture, donc j’ai dit ok, on prend. Puis, j’ai ouvert à tout type de dons. »
L'importance des réseaux
Un commerçant syrien de la ville lui a apporté 200 cartons contenant de la nourriture, des vêtements chauds, mais aussi des jouets. « Il a pensé que quand l’enfant verra le jouet, il sera très heureux et pensera à autre chose qu’à sa peur, se souvient Mohanad Akram. Ils savent ce qui est nécessaire, ils ont eu besoin de cette aide par le passé. »
Son ami Ali Estefo, originaire de Syrie, prête lui aussi sa maison pour stocker les montagnes de dons. « Ça m’a rendu très heureux que beaucoup de gens fasse un geste, dit ce volontaire syrien. C’était au-delà de nos espérances. »
Pour sécuriser le transport vers Alep, Idleb et Lattaquié, ils s’appuient sur leurs propres réseaux. Ali s’y rendra d’ailleurs lui-même pour aider à la distribution.