Les 28 personnes, dont une jeune fille et un vieux âgé de 63 ans, arrêtées suite à la manifestation de Kédougou font face au juge depuis ce matin. Elles sont accusées de pillage, de destruction de biens publics, de violence à agent, entre autres chefs d’inculpation, ont révélé nos confrères de la RFM.
Depuis leurs arrestations, des notables de Kédougou ont tenté d’obtenir leur libération en vain. Le ministre de l’intérieur avait dit à ce propos qu’il faut que force reste à la loi.
Des organisations de défense des droits de l’homme ont eu à dénoncer avec la dernière énergie les vagues d’arrestations. Elles ont, dans ce cadre, demandé un meilleur traitement des personnes arrêtées. A ce propos, l’ONDH a eu à inviter le comité contre la torture des Nations Unies à enquêter sur les faits de torture « récurrents et avérés » qui se sont déroulés à Kédougou durant et après les affrontements du 23 décembre entre manifestants et forces de l’ordre.
Cependant, l’enquête ouverte pour déterminer les circonstances de la mort de Mamadou Sina Sidibé suit toujours son cours.
Depuis leurs arrestations, des notables de Kédougou ont tenté d’obtenir leur libération en vain. Le ministre de l’intérieur avait dit à ce propos qu’il faut que force reste à la loi.
Des organisations de défense des droits de l’homme ont eu à dénoncer avec la dernière énergie les vagues d’arrestations. Elles ont, dans ce cadre, demandé un meilleur traitement des personnes arrêtées. A ce propos, l’ONDH a eu à inviter le comité contre la torture des Nations Unies à enquêter sur les faits de torture « récurrents et avérés » qui se sont déroulés à Kédougou durant et après les affrontements du 23 décembre entre manifestants et forces de l’ordre.
Cependant, l’enquête ouverte pour déterminer les circonstances de la mort de Mamadou Sina Sidibé suit toujours son cours.