Le conseillé en communication du Président de la République du Sénégal, Pape Dieng qui est par ailleurs enseignant au CESTI, estime qu’on devrait permettre les sondages au Sénégal. «Personnellement je ferais un plaidoyer, je porterai ce débat pour que, aussi au Sénégal, on libère les enquêtes de sondage parce qu’on en a besoin politiquement, socialement économiquement» a-t-il fait savoir ce dimanche 26 septembre dans l’émission remue ménage de la Rfm.
Interdit par une loi de 1986, le sondage, dit-il, est un outil de photographie, c’est un outil quantitatif qui nous permet de savoir ce qui se passe, sans lui on ne peut pas savoir.
Le conseillé en communication de Me Wade est d’avis qu’«on doit même minimiser les sondages. En France, chaque fois qu’on se réveille on regarde le sondage du jour on le comprend, c’est comme de la météo et puis on avance avec. On a besoin de savoir, parce que c’est une photographie juste du moment. Ça nous donne l’Etat d’un moment et ce moment T va évoluer».
Revenant sur le récent sondage sur les élections présidentielles de 2012 qui a placé Me Wade en tête, il a confié que «d’ici 2012 les chiffres annoncés peuvent changer. Moi je n’en ai aucun problème avec les sondages mais ce sont les méthodologies, l’encadrement du sondage qui me pose problème. Il faut qu’on le libère, il faut qu’on parle de sondage, il faut qu’on sache que c’est juste des chiffres, les manipuler et les utiliser comme outils de travail».
Interdit par une loi de 1986, le sondage, dit-il, est un outil de photographie, c’est un outil quantitatif qui nous permet de savoir ce qui se passe, sans lui on ne peut pas savoir.
Le conseillé en communication de Me Wade est d’avis qu’«on doit même minimiser les sondages. En France, chaque fois qu’on se réveille on regarde le sondage du jour on le comprend, c’est comme de la météo et puis on avance avec. On a besoin de savoir, parce que c’est une photographie juste du moment. Ça nous donne l’Etat d’un moment et ce moment T va évoluer».
Revenant sur le récent sondage sur les élections présidentielles de 2012 qui a placé Me Wade en tête, il a confié que «d’ici 2012 les chiffres annoncés peuvent changer. Moi je n’en ai aucun problème avec les sondages mais ce sont les méthodologies, l’encadrement du sondage qui me pose problème. Il faut qu’on le libère, il faut qu’on parle de sondage, il faut qu’on sache que c’est juste des chiffres, les manipuler et les utiliser comme outils de travail».