Le vote des militaires et paramilitaires a débuté aujourd’hui au niveau de la banlieue. Elle compte deux centres, sont école Pikine 16 et Thiaroye. En effet, le nombre d’inscrits dans le premier est de 1086 e dans le second, 1936. Mais seulement une vingtaine a voté sur les 1086 inscrits au centre de Pikine 16. Manque d’engagement ou respect de la consigne ?
C’est un vote au ralenti qui est constaté au niveau du centre de Pikine 16. Les votants arrivent au compte goutte. Suffisant pour que certains se posent la question de savoir si les militaires et paramilitaires se sont désengagés ou juste un respect du boycott du processus électoral à leur niveau. Ainsi dans le bureau 1 qui compte près de 711 inscrits, seulement une heure après, 10 personnes ont voté. Dans le bureau 2, qui compte 375 inscrits, 9 ont voté pour le moment. Ainsi, ces constats ont poussé certains à se poser des questions. « On dirait que les militaires ont fait dans le boycott, vu le faible nombre de votant. Espérons que ce sera le rush d’ici à demain », indique notre interlocuteur. De même, dans les deux bureaux, les présidents des deux bureaux de vote 1 et 2 ont fait savoir que rien à signaler pour le moment du fait que le scrutin se poursuit. La police veille à la sécurité. Ce qui a été noté aussi, c’est l’absence des mandataires de quelques partis.
C’est un vote au ralenti qui est constaté au niveau du centre de Pikine 16. Les votants arrivent au compte goutte. Suffisant pour que certains se posent la question de savoir si les militaires et paramilitaires se sont désengagés ou juste un respect du boycott du processus électoral à leur niveau. Ainsi dans le bureau 1 qui compte près de 711 inscrits, seulement une heure après, 10 personnes ont voté. Dans le bureau 2, qui compte 375 inscrits, 9 ont voté pour le moment. Ainsi, ces constats ont poussé certains à se poser des questions. « On dirait que les militaires ont fait dans le boycott, vu le faible nombre de votant. Espérons que ce sera le rush d’ici à demain », indique notre interlocuteur. De même, dans les deux bureaux, les présidents des deux bureaux de vote 1 et 2 ont fait savoir que rien à signaler pour le moment du fait que le scrutin se poursuit. La police veille à la sécurité. Ce qui a été noté aussi, c’est l’absence des mandataires de quelques partis.