En son considérant 20, le Conseil constitutionnel constate l’impossibilité d’organiser l'élection présidentielle à la date initialement prévue et invite les autorités compétentes à la tenir dans les renifleurs délais. Ce qui fait dire à Serge Louis Déthié Cissé, juriste - auditeur que « le Conseil constitutionnel a divisé la poire en deux».
Pour lui : « le Conseil constitutionnel n’a pas fixé une date l’élection présidentielle ».
Ce qu’il faut comprendre dans cette décision est que les sept (7) sages ont donné l’injonction à l’autorité administrative qui appartient au pouvoir exécutif de fixer une date d’élection dans les meilleurs délais. « Alors c’est ça l’origine de tout ce problème. Parce que les techniciens du droit vont comprendre que le Conseil constitutionnel dans ses motivations dit que l’élection ne peut être fixé avant le 2 avril. Pour qu’après cette date qu’il ait une passation de service entre Président et son successeur », a expliqué l’invité de Midikeng sur PressAfriktvhd.
Donc si le « Conseil constitutionnel avait était plus précis en ajoutant toutefois la date à choisir dans les meilleurs délais ne saurait être fixé après le 2 avril. Si cette répétition de droit était faite il pourra bloquer le chef de l’Etat. »
Donc obligatoirement, la présidentielle doit se tenir le 3 mars. Pour que le Président respecte cette disposition qui dit la présidentielle doit se tenir 30 jours avant la fin de son mandat qui finit 2 avril.
Pour lui : « le Conseil constitutionnel n’a pas fixé une date l’élection présidentielle ».
Ce qu’il faut comprendre dans cette décision est que les sept (7) sages ont donné l’injonction à l’autorité administrative qui appartient au pouvoir exécutif de fixer une date d’élection dans les meilleurs délais. « Alors c’est ça l’origine de tout ce problème. Parce que les techniciens du droit vont comprendre que le Conseil constitutionnel dans ses motivations dit que l’élection ne peut être fixé avant le 2 avril. Pour qu’après cette date qu’il ait une passation de service entre Président et son successeur », a expliqué l’invité de Midikeng sur PressAfriktvhd.
Donc si le « Conseil constitutionnel avait était plus précis en ajoutant toutefois la date à choisir dans les meilleurs délais ne saurait être fixé après le 2 avril. Si cette répétition de droit était faite il pourra bloquer le chef de l’Etat. »
Donc obligatoirement, la présidentielle doit se tenir le 3 mars. Pour que le Président respecte cette disposition qui dit la présidentielle doit se tenir 30 jours avant la fin de son mandat qui finit 2 avril.