De l’avis de Adji Mergane Kanouté le retour de la peine de mort n’est une bonne option pour mettre fin aux séries de meurtres macabres qui frappent le Sénégal avec la dernière en date, le meurtre de la 5 iéme vice-présidente du Conseil économique social et environnemental (CESE) Fatoumata Mouctar Ndiaye.
Selon ce membre de la coalition Benno Bokk Yakaar « La peine de mort n’est pas et ne saurait être la solution pour venir à bout des meurtres. Les Sénégalais, dans leur ensemble, ont condamné vigoureusement la peine de mort infligée à une des leurs, en l’occurrence MBayang Diop, condamnée à mort en Arabie saoudite pour le meurtre de sa patronne. On ne peut pas vouloir une chose et son contraire », assène-t-elle.
Poursuivant ses explications elle a fait savoir que « Le meurtre est condamnable et doit être passible d’une peine capitale, la perpétuité, qui peut au moins soulager les familles des victimes. La peine de mort ne saurait être un remède à la récurrence des meurtres. Car les Usa appliquent la peine de mort et les meurtres n’ont pas pour autant diminué. Aux Usa, les policiers qui sont censés protéger les citoyens commettent généralement ces meurtres ».
Selon ce membre de la coalition Benno Bokk Yakaar « La peine de mort n’est pas et ne saurait être la solution pour venir à bout des meurtres. Les Sénégalais, dans leur ensemble, ont condamné vigoureusement la peine de mort infligée à une des leurs, en l’occurrence MBayang Diop, condamnée à mort en Arabie saoudite pour le meurtre de sa patronne. On ne peut pas vouloir une chose et son contraire », assène-t-elle.
Poursuivant ses explications elle a fait savoir que « Le meurtre est condamnable et doit être passible d’une peine capitale, la perpétuité, qui peut au moins soulager les familles des victimes. La peine de mort ne saurait être un remède à la récurrence des meurtres. Car les Usa appliquent la peine de mort et les meurtres n’ont pas pour autant diminué. Aux Usa, les policiers qui sont censés protéger les citoyens commettent généralement ces meurtres ».